Des mots, des ailes, des rires, des adieux, des fous, et l'amour, et le ciel, et les étoiles.

Comme je te comprends, je suis en vacances chez ma mère en Haute-Savoie, je retrouve mes forêts, mon air, et surtout... la neige!

Oui, tellement de flocons viennent nous rendre visite depuis hier, les paysages sont splendides, ainsi épurés, le gris disparaît, il fait froid, mais ce froid appelle la chaleur, il la taquine, celle des autres, du doux logis, me rafraîchit.

Je vais bientôt aller skier.

Ça m'arrive souvent de vivre des choses que j'ai déjà vécues en rêve. Il y a des moments où la sensation de déjà-vu est tellement forte, qu'en cherchant bien je me souviens les avoir rêvées. Très très longtemps auparavant, 2 ans, 3 ans, voire plus. On me dit des choses que j'ai déjà entendu, "je savais qu'il allait dire ça c'était prévu", comment dire ? "C'était écrire, ça devait se passer comme ça"

Je sais pas, c'est vraiment, vraiment bizarre.



Bon, autre chose : la nuit, on fait des rencontres épiques. Vous ovyez ce que je veux dire, enfin "reconnaître" quelqu'un, se dire "ah lui, il est comme moi, et on va super bien s'entendre, et on va être amis pour la vie" ?
Ça m'intrigue ces liens, ça m'intrigue ce qui se tisse, comme ça, proprement une espèce d'alchimie un peu irréelle, plus ou moins artificielle, mais dont on arrive à distinguer la réalité de l'artificialité que lui ajoute l'alcool.

Zzita a écrit:C'était écrire

Zzita a écrit:Vous ovyez ce que je veux dire

Zzita a écrit:que lui ajoute l'alcool.

Hahaaa !! J'en connais une qu'a la gueule de boooooiiiiiiiiisss !!

(moi pareil)

Bon, bah, ça y est la recherche spirituelle de Zitounoupitchou a commencé. Pas d'inspiration pour un poème. Another day. zib

Bliss - la - BANAAAAAANEUH !!!

Hihihi !

Samedi soir, j'ai rencontré Wladimir Wolkoff réincarné en Vladimir, il est beau, il est franco-russe, il est grand, il a des boucles noires, la peau pâle, les yeux bleu délavés, et c'est le sosie de :





Hé ouais.

Bon... tout ça, c'est bien joli mais... nous c'qu'on veut surtout savoir c'est : est-ce que tu l'as ramené chez toi ?

Ah, Bliss.

Je lui ai laissé mon numéro, il m'a apporté des bouquets (pas des fleurs, des bouquets), et a déclaré que j'étais la femme la plus belle du monde la plus féminine la plus intelligente et la plus sensible.

Alors j'ai pris les fleurs, et je suis partie.

https://www.zebrascrossing.net/t10134-une-soiree-entre-filles-a-paris-jeudi-ou-vendredi-soir


Ça vous tente, mesdames, mesdemoiselles ?

Venez !

1. Un jour, on arrête de se poser des questions. On agit.

2. On comprend que l'amour-propre, ce n'est pas de l'égocentrisme : c'est prendre soin de soi.

3. On comprend que le temps pour faire les choses finit toujours par arriver. Peut-être même que, parfois, il est déjà là, mais comme on l'attend, au lieu de le laisser venir, on ne le voit pas.

4. On comprend que si on fait de petites actions dans un but lointain, un jour, sans s'en rendre compte, on s'en est drôlement rapproché, de ce but.


5. On comprend ce que c'est que l'attention : envers soi, envers les autres. On comprend ce que c'est la vigilance : ce n'est pas la peur, mais ressentir ce qui est en accord avec soi et ce qui ne l'est pas.

6. Et puis un jour, tout cesse d'être horriblement compliqué.
Le suicide n'est plus le seul échappatoire.

7. Un jour, ce qui nous effrayait devient surmontable. On se souvient de ses anciennes peurs, on comprend tous ces blocages, on est heureux qu'ils nous aient lâchés. Un jour, ce qui était difficilement surmontable devient facile à faire, le coeur léger.

Un jour, on est presque heureux.

8. Un jour, on arrête de juger en permanence les autres. Un jour, on arrête d'être centré sur soi. On se laisse vivre, on accepte de faire ce qu'on peut.
Chacun fait ce qu'il peut.

Un jour, on arrête de se moquer des autres qui mettent du temps à comprendre, parce qu'un jour, ils nous expliqueront quelque chose.

9. Un jour, on comprend qu'on n'est humain que par ses relations aux autres, et on devient très vigilant, à tisser des liens sains et réels, avec les autres. On comprend que les relations ça s'entretient, et que c'est précieux.

10. On comprend qu'on ne peut pas envoyer balader les gens. Ils ont le droit d'être agressifs, d'avoir leurs sautes d'humeur, et de faire des remarques acerbes. Ils ont le droit d'être maladroits.
On comprend que soi-même, on doit toujours avoir un comportement impeccable.
On comprend que la politesse, c'est primordial : on a toujours le droit de bouillir intérieurement et de tuer les gens dans sa tête, mais on ne peut pas le montrer.
Un jour, on comprend que pour avoir une bonne estime de soi, et la garder, il faut toujours être classe, et coller au plus près de soi-même.

11. On comprend que pour vivre, on a besoin d'une éthique. On reconnait ses limites, en bien, en mal. On apprend ce que c'est l'inacceptable pour soi : la violence verbale, la manipulation.

12. Un jour on comprend qu'il est plus important d'écouter quelqu'un que de lui parler. On apprend à écouter jusqu'au bout, sans interrompre.
Un jour, on comprend ce que c'est, la présence à l'autre, et à quel point ça fait du bien.

13. Un jour, on établit ses priorités de vie. Et un jour, on es respecte.



Un jour, on est heureux.

14. Un jour, on comprend que les moments très noirs ne font que passer. On comprend qu'il faut juste les accepter, et que pendant ces moments-là, on a le droit aux folies.

15. Un jour, on comprend que toute pensée est un délire, que toute peur : c'est du délire. Un jour, on apprend à laisser passer les pensées négatives, et à ne pas les écouter, car elles font du mal. On apprend à écouter les pensées positives : elles font du bien, et c'est toujours agréable de se faire du bien.

16. Un jour, on comprend qu'on est jamais seul, tant qu'on est avec soi.

17. Un jour, on comprend que tant qu'on a de l'amour propre pour soi, on peut bien se moquer de ne pas être aimé par les autres. On peut bien se moquer de faire des choses que les autres ne comprennent pas. On a le droit d'être soi.

18. Un jour, on comprend qu'il y a une réponse à la question "À quoi bon ?". C'est : "Vivre".


19. Un jour, on arrête de se préoccuper en permanence du jugement des autres. On comprend que les autres s'en foutent de soi. On comprend que du coup, on est libre, et on se libère des fausses croyances, des faux préjugés, de se qu'on croit devoir aux autres ou être ce qu'ils attendent de nous. En réalité, les gens n'attendent rien d'autre de nous que nous-même.

20. Un jour on comprend que tout le monde est dingue. On comprend que soi-même on est complètement barge, mais que tout le monde a une folie, et que les plus dangereux sont ceux qui ne l'acceptent pas.
Un jour, on accepte sa folie, on accepte qu'on est barge, et on accepte la folie des autres.
Un jour, on comprend qu'on peut aimer les autres, puisqu'on les accepte tels qu'ils sont, puisqu'on s'accepte tel qu'on est.

*sourire ému*

C'est étonnant, l'intuition, c'est vraiment étonnant.

Il y a quelques semaines, j'ai une conversation avec un ami sur facebook. On est un peu séduits l'un par l'autre, on s'aime bien, on a déjà couché ensemble, et bon, c'était plutôt pas mal (euphémisme). Sous entendus sexuels, charme, un peu d'allumage de chaque côté, bref, une conversation à ne pas mettre entre toutes les mains.
Et pendant cette conversation, assaillie en boucle par un pressentiment, par un attention attention attention à ce que tu dis, qui clignotait dans ma tête, j'avais fait très attention à ce que je disais : j'étais sur mon ordinateur, ordinateur trainant toujours sur la table basse du salon de l'appartement, appartement où mon amoureux habite.



Et bam, aujourd'hui, 16h30, j'émerge de ma sieste et je trouve monsieur l'amoureux, le regard noir et blessé, sur ma page facebook, à lire le conversation.



Mais le plus "étonnant" est que, 1h plus tôt, avant de partir faire la sieste, j'avais laissé mon ordinateur sur la table basse, comme d'habitude, avec la bizarre étreinte du coeur que, si je le laissais là, monsieur l'amoureux irait y faire un tour.



Comme quoi, il y a des signaux d'alarme qu'il faut vraiment écouter. Vraiment bien écouter.

Ou alors c'était un acte manqué

^^
Peut-être, peut-être ...

Être un femme féminine et indépendante, c'est parfois vraiment difficile. C'est parfois vraiment difficile d'être imperméable aux remarques des hommes et à leurs battements de nageoires pour se faire aimer. (j'ai rien contre les garçons, hein )

Bon, ceci étant posé, je voulais juste ajouter que c'était difficile tous les jours, mais vraiment valorisant.
Valorisant, du genre "Ah, je peux vraiment être fière de moi".


Is there anybody going to listen to my story
All about the girl who came to stay?
She's the kind of girl you want so much
It makes you sorry
Still you don't regret a single day.
Ah girl
Girl

...


She's the kind of girl who puts you down
When friends are there, you feel a fool.
When you say she's looking good
She acts as if it's understood.
She's cool, ooh, ooh, ooh,
Girl
Girl
...



Et puis sinon :


Mister
Your eyes are full of hesitation
Sure makes me wonder
If you know what you're looking for.
Baby
I wanna keep me reputation
I'm a sensation
You try me once, you'll beg for more.

...

Yes Sir
Already told you in the first verse
And in the chorus
But I will give you one more chance.

Yes Sir, I can boogie….



lalala lalala ...

Merci pour ta fraicheurrrrrrr !

Tes mots ne font que confirmer ce que je ressens !

C'est vrai que c'est tellement bien d'expérimenter tout ca, j'ai plus trop envie de me retenir dans la rue ! A mort mes blocages =)

Ce sera probablement mon dernier message.

Je sais aussi être léger puisque je suis un oiseau. Mais la légèreté ne semble jamais importer.

Un doux et infini amour que tu te donnerais ferait disparaître toutes ces perversions, cette lâcheté, ces comprimés, que tu décris à ton entourage, entre autres ombres de ton corps.

"Déplacer" les garçons en montrant une fausseté, et en s'y épuisant au lieu de s'aimer, c'est violer leur liberté, leur temps, leur énergie, mais pire que cela, c'est appauvrir leur image de la femme. C'est leur diminuer l'espoir quant à un amour sain, constructif et uni à jamais, comme aux bons temps.
C'est aussi simplement diminuer la puissance de l'égrégore féminin, dont vous êtes toutes responsables et qui aura fort à faire à l'avenir, tellement toutes ces petites couilles que nous sommes ont pris de place.
Ou plus simplement, en philosophie, tout ton être atteint l'être féminin, que tu représentes évidemment en permanence.

Constituer un réceptacle à spermes, c'est approcher la prostitution.

La beauté du monde n'est pas couverte de toiles, de toits d'exposition, de bars à entités maladives, ou de semblants cinématographiques (j'aime pas le cinéma puisque c'est du cinéma). Cette beauté du monde, elle n'est vraiment nulle part ailleurs qu'en toi. La chimie la masque. Certains anti-dépresseurs restent parfois jusqu'à trente ans dans les cellules.

Sache que toute l'altération de la nature que tu pourras créer par ton éventuelle profession, te sera.

Prends le plaisir de ne pas te gâcher.

J'ai lu que tu ne travaillais pas, un peu comme moi.
Je travaille sur moi depuis cinq mois, et je suis heureux de récolter les sourires de ces parisiens.

bah oui jtm

Et j'adore le faire, mais je n'en ai pas envie, c'est te réduire toi, et tous tes si hauts potentiels.

Spoiler:

C'est mon anniversaire, j'ai 20 ans !

Chuis contente.

Bon anniv.
Profite bien, on n'a pas tous les jours 20 ans. Seulement pendant 1 an.

Merci Grand Père Castor. Merci.

Joyeux anniversaire petite Zz

Merci Senga ! blblbl

J'ai grandi ! L'année derni!re je mesurais 1m70, maintenant je mesure 1m72. J4ai 20 ans et j'ai grandi de 2cm. C'est fou quand même. Qui l'eut crut ?

Attention si tu te mesures le matin au réveil tu es plus grande de 2-3 cm par rapport à si tu te mesures en fin de journée...
Car le dos se "tasse" à force de rester debout et se détend la nuit.

Les filles arrêtent de grandir à 16 ans, ce qui ferait de toi une sorte d'extra terrestre.

Euh, je crois pas non ... Les filles arrêtent de grandir à 20 ans, c'est mon carnet de santé qui le dit. Entre 18 et 20 ans, on prend 2 cm en moyenne, pour arriver autour de 1m65 en moyenne. Moi j'ai pris 4cm.

Bon ok j'avoue. Je suis un garçon.

T'es content ?

Just discovered :




Love it.

Aujourd'hui on m'a prise pour Mila Jojovitch. C'était trop coule.

Et j'ai écoute Sting en faisant la vaisselle. Ce qui m'amène à la question suivante :
Mais bordel pourquoi j'ai pas découvert plus tôt ?

Donc voilà, there's a moon over bourbon street tonight

Coucou les zamis

Aujourd'hui je regarde le ciel depuis mon canapé



C'est beau hein ?

Avec le temps je me suis rendue compte de plusieurs choses.

D'abord que le temps est relatif, et qu'il est tellement relatif qu'il n'existe pas. Compter les jours en heures et les secondes de séparation entre les instants nous fait manquer les vrais moments, ceux qui durent, qui sont éternels, et qui peuvent être convoqués de nouveau quand, un matin, le bas du visage enfouit dans son écharpe, on se souvient et on sourit.

Avec le temps j'ai aussi compris que la vie est faite pour être vécu et que chaque instant est différent. J'ai compris qu'il faut prendre les choses comme elles viennent, et ne jamais essayer de les changer. Que les hommes sont les hommes, les femmes, c'est pareil, on veut tous être heureux et on est tous tellement obsédés par cette idée qu'on s'imagine qu'on ne sait pas comment faire.

Avec le temps j'ai compris que regarder ailleurs c'est se tuer soi-même. J'ai compris que faire comme si tout allait bien, vouloir garder la face, la tête haute, être lointain, souriant ou non, jamais s'autoriser à perdre pied c'était la folie. La folie c'est de ne pas accepter la vie exactement comme elle vient, c'est de ne pas accepter ses imperfections exactement comme elles sont, avec toutes leurs minuties dorées et brillantes.

J'ai compris que regarder les choses en face, accepter de ne pas tout contrôler, accepter de laisser aller, de laisser faire, de ne pas avoir le dernier mot. Accepter de ne pas discuter, accepter de se taire, accepter de ne rien dire, accepter de ne rien faire, accepter d'aller là où on veut aller même si ça parait extrêmement ridicule.

Avec le temps j'ai aussi compris qu'on a chacun ici, sur Terre, une mission à remplir et qui est souvent la chose qui nous fait le plus peur et le plus envie à la fois. Souvent, ça a à voir avec l'Amour. D'une manière générale, notre mission sur Terre c'est d'apprendre à recevoir et à accepter l'Amour.
Faut comprendre ce que je dis, mais enfin, c'est l'idée. On comprends ça avec le temps, cette histoire d'accepter l'amour de soi pour soi, des autres pour nous. Il y a pas à donner de l'amour, il y a simplement à recevoir et à accepter. On comprend qu'on est malheureux parce qu'on ne remplit pas notre mission et parce qu'on pense qu'on n'y arrivera jamais. On se trouve des excuses parce qu'on a peur. Plus on se trouve d'excuses plus on est malheureux.
Faut du courage.
Ça vaut la peine d'avoir du courage de laisser tomber les excuses et de faire en sorte de se rendre heureux.

Avec le temps on comprend aussi qu'il faut faire des choix et qu'en même temps on peut tout avoir. Comment ça, faire des choix ça veut bien dire qu'on peut pas tout avoir pourtant ? En fait non. Faire des choix ça veut dire se redresser dans cette infinie beauté de la justice, et, complètement immergé par l'eau pure de l'âme, ouvrir les yeux sur
Sur
Sur … Sur les choses qui sont. Sur ce qui est. Sur ce qui est ainsi car c'est ainsi.
Alors dans la prunelles vertes de quelqu'un on voit dieu, comme dans un trou de mémoire. On entend le bruit des anges, on se rend compte que chose chose vue a aussi un son, que les tables et les chaises chantent, que le cristal a toujours un beau son pur, comme du cristal.

Avec le temps on comprend aussi que tout le monde parle la même langue, et qu'on peut communiquer avec n'importe qui sur Terre si on y pense vraiment. On se rend compte aussi qu'on peut se déplacer n'importe où juste en y pensant.
On découvre que ce à quoi on pense se manifeste et qu'on est entouré de miracles.
On se rend compte qu'être humain c'est vouloir devenir le meilleur de soi et que c'est tellement précieux d'être la meilleure personne possible pour soi même.

Avec le temps on comprend que la beauté est partout, et que la poésie est dans un sourire.

"Confiance en soi : la capacité à croire en soi, et à savoir que quelque soit la tâche, sa difficulté, sa longueur, on est capable de la faire avec succès"

J'aimerais bien que sur ce forum on arrête de désigner la kinésiologie, le pprânisme ou la grande fraternité blanche comme des sectes. Rien n'est une secte en lui-même, c'est ce que l'homme en fait.
Moi je parle aux arbres, je communique avec les animaux, et je vois les auras des gens, et je suis pas pour autant dans une secte.
La science et la démonstration sont limitées face à l'invisible pour les yeux.

Kikou