Suites de mots composés

C'est impératif le présent bien que dans le futur ce serait imparfait d'en parler à l'instant, car en fait c'est pas le moment; comme j'en parle maintenant au présent, je compose comme dans le passé.
Comme indicatif c'est pas parfait mais bien plus que cela c'est plus que parfait donc pour résumer le passé antérieur est bien plus supérieur que le futur.
Voilà comment parler pour ne rien dire

La seconde pensée dit "minute" à sa soeur,
Et la leurre au grand jour, comme se mène roi,
La lestant d'une ânée, lustrant de bonne humeur
Ces culs, l'air de ne pas y toucher : air de foi.

L'air de foie de canard, qui a la foi en vacances,
l'aire de Foix, sur la place du général Jean de Foix,
Deux fois plutôt qu'une, de foi sans toi ni l'oie,
Deux froids dans l'ère qui souffle, aux gens de peu de foi,
Foie, moi, j'aimais, Devos ou bien dévot:

Les Français sont des veaux, si en général,
Le deux gaulle n'en a jamais rien dit,
Place Beauveau ou ailleurs, ... remettons
A seize armes ce qui est à César...

Le franc sait que le foie de veau hait
Sans doute le mai heure en avril,
Il ne se découvrira
pas d'une ville, car l'effroi est à l'heure,
Pour les petits veaux d'or, en abat-âge triste.

Et pour les petits veinards aux veines d'or,
Qui lisent l'émaux composés des Major et des (P)rince,
Qui ont une fois de fer, et de l'hémoglobine,
Plein leur foie, pour plus qu'une dernière fois,
Je n'ai de vos entournures non sur-années, mais bien séculaires,
Qu'un bienveillant salut, par deux foies d'animal,
de l'ère de ne pas y toucher non plus.

Cuivre de bonheur
D'avoir coulé un bronze
Car fer étain honneur
Nickel pour un bon bonze

Ne vous zinc qui été pas,
Peu titane essuiera.
Mercure ce qu'il y a,
Métal lunette au bas.


Désolé...

alors là c'est pas du coton
lin dit oui l'autre tissons
la laine pas très vierge
après quelques bières enfilées
Paul y a mis don et
satin pas à grand chose
ce ne fut pas de la crêpe
et encore moins du velours
mais levé fut le voile

On fée dans la dent-ailes, sur des pattes de veule-lourd,
Sur ce post, on dévide -et Pâques des queues-nouilles-
Des douces heures, des Nil longs, des ça teints,

On se cache dans les peules lottes, les bob inn,
Et les bouts de fil se disent Perse! Et Paule-Lise!
Dans l'âme à des cous l'heure, en soi rient dés calés.

Pourquoi le fils d'are rie âne, ne suit-il pas
Le petit d'Anne qui titille dans les mais lis mais l'eau
Des fa l'bal là, des maux de siècles-attentes,
Des lus mineuses Schön nilles, et dérobe d'art quand ciel?

Les voix le disent: la botte est brille au sot l'oeil!

faux suivre le fil en trop peu
le fil est de vos idées
le fil y se teint dans l'anti quitté
ton fil est mignon mais défile toi fillette
il se trame un fil à papa
un fil en bulle qui filera vers sa toile à tisser
telle l'épeire qui file en fil y gramme
bon faut que je file mais pas à la queue leu leu

Fi y êtes, fi y êtes, si tue croix ksa va ksa va dur et tout jour,
Toila l'a fila à palpa?

Pâle arbre des dragues,
Pare Simone nieuse con vexations,
Par à chute (d'airain)

Fi y êtes, fi y êtes
tue y père ton la-tin lover
Et ton barre à thym

Par deux sous les tois
Par brise des cas portables,
Par dons et par veaux,
Tu part t'âge tes âmes ours,
Et tes par-dessus joie yeux.

Je pèse le pour et le contre sur mon pèse personne, pourquoi personne ?
Je suis dessus et je suis bien là le chiffre le prouve, donc cela s'appelle un pèse moi, c'est personnel car c'est bien mon poids.
Mon poids des mots oscille et devient lourd à porter
pas étonnant que je sois en sur poids
Alors j'ai vidé mes poches de mes pensée trop lourdes, arrêté de couper mes cheveux en quatre, et cesser de manger pour deux, car deux moi sur la balance ça fait beaucoup pour moi et moi
J'ai donc allégé ma tête de bois, car le bois c'est plus lourd qu'une tête d'écervelée, je ne bois plus qu'un verre à la fois à moitié vide car le vide c'est moins lourd que le plein.
Ainsi j'ai perdu le poids que j'avais sur le coeur, mon coeur est léger et ma balance cesse de pleurer

C'est le pèse oseille, par liasses de mille,
Les autres banquent et l'autre ne rend rien.
Amène ton blé, pour les nourritures terrestres,
Il suffit de mettre l'argent sur la table des négociations,
Tu gagnes avec ces rectangles d'or dur tous les déchets du monde,
Ces billets d'encre et de sang, de miasmes et d'injustice.
On ignore qui tu es, et quelles pensées t'agitent,
Tu es le roi du carbure, mais le pognon n'a pas d'odeur.

C'est Vesse pas sien qui l'a décrété.

.

L'âme un à la patte, au col laid, trotte hard, jet lu, Major
L'âme un dent le sac à puces, et le truc à mal lisse,
Le flat grand dais lit.

las gare à vue pour un rail
lad mine nie strate Sion hait puis hante
le serre vice publie les affreux de la vie
hier à chie peu (s) hante
re traite = LIBERTE

Hâve en la re-traite, faux fer la vache-à-lait
Tu trinques, tu te décarcasses deux boeufs,
Tu te dépiautes des pépites, tu écho-no miss,
Tu en mets dans la tire-lire don daine.

don daine ou dindon c'est pas une farce
peindre la girafe c'est pas l'heure ni un leurre
l'oie zi veut thé avec un jars rive au bord de la mer
si la mère dit terre à l'année j'en prends pour trente ans
c'est pas car c'est râle c'est du bon heure du bon air

L'oeuf petit boude l'alors gnette,
La faim du tue Neil,
L'are en contre des ch'mains,
Laisse entiers battus,
Loto route d'erre Eve,
Le maths Inde et mage y siens,
L'eau or aux droits de Rose,
La tante naît plus cil ongle.

L'oeil tond à vue, zoome au contact,
Microscopant, pupile contracte,
Lorgnant Judas, de longue vue,
Courbant lentille, vise inconnu.

L'une est aux anges, l'autre se coupe,
Pas de jumelle qui ne se loupe.
Clichés connus, pas d'ouverture,
L'angle est qu'on vexe, la droite est sûre.

Tiangulant la position,
"soyons carrés !", ment un poltron,
Un géométre, pointant le corps,
Se bornera au désaccord.

La ré fa si la si mi ré,
Mi ré fa mi ré la do ré.

l'adorée la brioche
comme un croissant de lune
un pain au choc colle là
une vielle noise rit
1 croit sans amande
et ce pas tisse lier
à la boule ange rit

Paris sur une rosse, un tocard à trois pattes,
Char très appesanti à l'arrière, qui gâte,
Le mangeur de trajet suivra toute l'étape
L'avalant gentiment... et le temps qui dérape...
"Reine irait bien plus vite, carrosse très chargé,
Qu'un perlé tout boiteux, guiboles éparpillées !
Qu'un père vienne l'aider ce bourrin sans manière,
Brest est loin à ce pas, là où finissent terres !"

quel est donc ce boiteux
qui ne bois qu'avec les autres
jeux de quille de vin
d'Alsace ou bien du Rhin
quand tu vins entre ses reins
ce fût bien plus divin
que d'être entre deux eaux
et rêver d'histoire d'O

Qui but à la lie la liqueur de la chasse,
A la pâle ombre, au serre, joint aux pieds de biches,
Aux las pains d'égares reines, aux pères dits sion,
Aux oiseux, aux oisifs, aux oiseaux?

La chasse aux paons, c'est noir,
La lutte contre le taon, une mouche perdue.
On naît ventre dans le sang commun, au bord des transports,
On naît tripes à la mode de quand?

A la recherche du temps perdu,
Dans le porte-mots nés, dans le lis vrai des postes,
Les Jeux vous salue amis, et m'en vais éperdue,
Par sons et par seaux, dans les dé-lire d'un Faust.

une tête qui développe des pensées entêtantes
dépendante d'une tête qui n'en fait qu'à la sienne

et dépenser en repensant qu'il faut décompenser
afin de ne pas oppresser des idées insensées

elles n'auront plus de sens pour finir en offense
et ces cons de pensées quand on est con pressé

bon arrêtons de penser à toutes ces pensées
qui pansent des idées à rêver éveiller

Je panse donc j'essuie ma mûle, je cire les pompes de mes émules, je théorise et je terrorise mes pustuleuses pensées que je suis peut-être une tête de mule dont l'essence est de pomper l'air de mes propres émules, lassés de mes thés au riz (blets) tandis que la terreur crise les corpusculeuses dépensées que j'en suis, une de ces mules qui se prennent plus des pulls que des vestes, parce que l'éveil dévêt les vêtements de dernières trempes de Pan, c'est la faim des haricots, des carottes cuites, des plus mauvais navets même dans une bonne soupe où un dernier cheval trempe ses sabots pour faire reluire quelque picotin pensé d'une esquive devant l'obstacle en panique.

la panne nique l'automobiliste qui carbure à les sens girafes foirent
les pistons de travers, le car terre qui fuit c'est la panne assez
faut pas se dégonfler les cieux sont avec lui et lui donnent du coffre
c'est le cric qui hausse le ton, l'ami

L'arène de la cirque eut lasse ions,
Un bas thon dans l'âme un,
Un si fletan dans l'a babouche des goûts,
L'uni forme repas c'est sur le do dé si ré, ah tendu,
La passe science dans le choeur,
Le deux voir dans laisse pris,
Le bonne heure pour laiss'y toi rien,
Et l'un gratte y (é)tude gênée râle.

Mairesse pets!

les fleurs sont en pot
et le pot en terre
en terre de feu Adèle lit
l'ante artistique pas laid des glaces
si vers aillent mets thé compter
Sache ah Guy tri

mes restes paissent

limite pas mille
Emile non c'est neuf neuf neuf
pas neuf non 999
du futur proche pour un passé présent
ouf belle rencontre du elle verbale
7000 oui sept mille quoi ?
7000 kilomètres entre 999 et 3033
tout c'est graine l'épi le temps la vie
merci tu restes dans le conte heure de ma vie

Major êtes, major ration de la force et de la vivacité,
Emouvante à tirer les armes des larmes,
Majeures rayures pour s'envoler vers l'azur,
Car j'ai trop gaspillé ma vie à des insanités,
Mage aux milles vers et aux débats très hauts,
Fière dans les nuages et les rayons verts,
Magie dorée des Carats hips! au coeur pur
Parmi les écumes et les devoirs d'aimer
Magistrale pour plaider son métier
Et écouter le monde dans ses douleurs
Major êtes, mais je ne disparais
Que des écrans de papier glacé
Mage à plumes de paon et aux feuilles de flamboyant
Qui s'irisent à la lueur des bontés
Loin? Qui est loin du coeur
Quand le coeur est dans sa poitrine?
Il n'y a pas de distance entre
Majorette et l'elfe nixe qui vole dans le même ciel.

Merci!

avoir de la mie
de l'amie comme du bon pain
rêver à l'utopie
l'utopie d'avoir à mi mot
mais crier à haut mot :
vol dans le même ciel
elle fée nie elle fait oui
ouïe à l'écoute
coût à la vie la vie d'avoir à mi

Amis miment minimum
Mènent aux muses, musiciennes.
Amours, même au maximum,
Minent et m'usent, magiciennes.

la magie du mage agit
l'image de l'âge m'agite
l'ami sage s'assagit
il s'agit de magie

Lamé sage erre, entre l'âme et sagesse,
Messagère d'espace entre masse allée,
Et mélasse d'aimés singés, où le bât blesse!
Les massages se massent en masse ailée.

for YOU dark feu ...

il n'est que des oiseaux noirs
dans ces cieux en pétard
il n'est que des poissons blancs
dans ces océans argent

joaillerie
charcuterie
librairie
pâtisserie

Je te réponds dans la rubrique Bout de rimes... Merci Nacrine!

bal long ballon bas en nylon
ni on nions ni rond
rondeur rompt l'heure on leurre
l'heure on nions pas
patirons irons pas dans nos pas

1 si font fond fond
2 mains tu verras
3 si la guerre aura lieu
4 air plie l'art
5 moitié de 10
6 faux nez
7 un si
8 .........
c'était pour relancer la machine

Et si lUNdi, je suis parti
Loin des iDEUX chemins de vie
Ne verrai plus les montmarTROIS
Ni QUATRE-quart, ni rabat-joie,
J'imiterai le sCINQue en sable
SI Xénophobe, indésirable.

SEPTentrion, ma direction ?
HUITre fermée, pas d'intention.
Un chemin NEUF, ça, c'est certain
DIXit la plume du baladin.
Je brONZErai me promenant,
DOUZE sentiers me dévoilant.

dévoilant la face
qui reste et puis s'efface
efface la vie qui vit de son ennui
an nuit aux rides
ridules ridicules
culbute et perd la raison
raison fut être
être de bois et de béton

(arf, vous en faites des poèmes maintenant)

Un Qatar marrant... (10 ans de réflexions)

Us et puce
Homme nid bus
culte but
bu rit dents
dans Lascaux lasse tic

"Un Qatar marrant"

Spoiler:

Lutte créant l'axe... Hisse !

Utopie à bon prix,
République avachie,
Misérables gérants
Fabriquant les errants,
Soldats écervelés,
Lamineurs décidés...
Stupides Imbéciles !

onanisme syncrétique
une main élastique
pluralité gestuelle
guérit des écrouelles
élucubrations de désirs
dans un violent zéphir
toucher une plaie d'une peau d'orée
auréole et symbolique
la république NTM!

L'enfermement! Quel énorme ment songe ...
M'en a-t-on dit du bien de stagner ainsi dans son rabaisse ment ?
Non. La colle ment des idées noires n'a jamais été un aboutisse ment
On se ment à soi-même dans cet enfer me ment
Lui, qui nous ronge ....fatale ment !

Feu Et Mer, Même Etonnement.
Hache Ou Meurs. Mal Extravagant.
Alors, Mais ! On Unit Rivales !
Méfiance, Où Mioche Egale !