Aidons nous à nous aider !

Nouvelle enquête : http://enquete.garhp.com/index.php/168812/lang-fr

Nouveau groupe de recherche : http://www.garhp.com/

Je n'ai aucun à priori, ni sur ce groupe, ni sur ce questionnaire.
Juste un goût amer en bouche d'expériences antérieures où je ne me suis pas sentie forcément reconnue, écoutée, prise en compte.
Ou finalement l'intérêt réel n'était pas de nous aider, au moins pas en première intention, et où le risque de nous porter préjudice n'était en aucun cas pris en compte ...

Réflexion en groupe, récurrente, sur l'urgence de nous prendre en charge, de devenir actif, de ne rien attendre concernant la compréhension de nos fonctionnements respectifs d'autres que de nous même.

L'ouverture de ce fil correspond à l'aboutissement de la maturation de cette évidence : Je veux comprendre, savoir, pour accepter et enfin être qui je suis. Pour cela je ne ferai plus jamais une confiance aveugle à quiconque qui ne soit capable de me comprendre parce qu'il fonctionne au moins en partie comme moi.

J'ai des pistes, des idées, mais seule ça représente peu de choses.

Que pensez vous de l'idée de nous unir, de poser nous même les questions, les pistes, les désidératas, les limites, l'éthique essentielle, pour ensuite la soumettre à ceux qui nous demandent si fréquemment de donner de notre temps, de nos cerveaux ?

Evidences pour moi de la nécessité de rencontres, de tables rondes, d'explications, d'interactions, de retours dynamiques.
Besoin de savoir, de comprendre, mais surtout et avant tout d'être respectée et prise en compte, en tant qu'humain, en tant qu'hypersensible, avant même que de l'être en tant qu'HP !

Qu'en pensez vous ?
Quelles sont vos idées, vos envies, vos ressentis ?
Pensez vous possible de nous unir et de nous occuper de nous, de faire entendre plus fort ce que chacun chuchote à son niveau à l'oreille d'autres ?

Bon il en faut toujours un qui commence.

Elle me plaît ton idée. Je suis bien d'accord qu'il ne faut rien attendre des autres.
On est jamais mieux servi que par soi-même.

Moi, je suis partant que les tables soient rondes ou carrées du moment qu'il y a une majorité de femmes.
En revanche je veux sélectionner.

Je pense même qu'il faudra l'étendre à une solution d'entraide : du style pole-emploi des HP.
Mais effectivement, commençons par le commencement.
Comment comprendre et surtout trouver comment optimiser notre fonctionnement.

Je suis disponible pour en discuter en Irl (j'utilise cet acronyme pour la première fois après l'avoir découvert grâce à toi)

Bienvenue à toi, et j'espère à beaucoup d'autre.

Besoin de discussions entre nous mais aussi ensuite avec des professionnels.
Faire des passerelles, des garde fous, mais nécessité aussi d'avoir un cadre thérapeutique et protecteurs.

On ne peut pas tout, mais nous sommes capables de beaucoup et surtout de nous porter.

Concernant l'emploi il y a déjà un site FB sur ce thème, si ça t'intéresse : https://www.facebook.com/groups/390602227647377/

Au plaisir

renarde20 a écrit:Nouvelle enquête : http://enquete.garhp.com/index.php/168812/lang-fr

Nouveau groupe de recherche : http://www.garhp.com/

Je n'ai aucun à priori, ni sur ce groupe, ni sur ce questionnaire.

Initiative a priori intéressante, surtout si elle est menée avec sérieux.
Je regrette juste que la question d'étude choisie ("le haut potentiel est-il pour le psychisme, un facteur de risque ou de protection? ou bien plutôt les deux?"), soit si orientée vers la pathologie.
J'aurais été plus motivée par une question cherchant à préciser ce qui convient bien aux surdoués, ce qui favorise leur épanouissement et ce dont ils doivent au contraire se méfier. Peut-être aussi arriver valider ou infirmer l'idée que certains comportements, jugés pathologiques selon la norme des neuro-typiques, sont en fait tout à fait sains pour un surdoué.

renarde20 a écrit:Juste un goût amer en bouche d'expériences antérieures où je ne me suis pas sentie forcément reconnue, écoutée, prise en compte.
Ou finalement l'intérêt réel n'était pas de nous aider, au moins pas en première intention, et où le risque de nous porter préjudice n'était en aucun cas pris en compte ...

En lien avec mon questionnement ci-dessus, déterminer ce qui est sain ou non chez un surdoué, ce qui lui convient ou pas, éviterait de lui demander une normalisation nocive pour lui. Parce que taxer l'élan de curiosité de défense maniaque contre la dépression, ou le questionnement d'agression contre l'autorité ou de besoin de maîtrise (par exemple), pourquoi pas, mais il faudrait peut être aussi se demander si les comportements en question ne sont pas tout à fait dans la "norme" ou n'ont pas un tout autre sens pour l'individu considéré, compte-tenu de son fonctionnement cognitif. Ce qui n'empêche pas qu'ils deviennent aussi problématiques ou excessifs, histoire d'un peu compliquer le truc.

renarde20 a écrit:Réflexion en groupe, récurrente, sur l'urgence de nous prendre en charge, de devenir actif, de ne rien attendre concernant la compréhension de nos fonctionnements respectifs d'autres que de nous même.

Je plussoie l'idée qu'on est jamais mieux servi que par soi-même. En même temps, c'est un "défaut" de surdoué je crois
Après, désolée d'aligner les évidences, mais cela ne veut pas dire qu'il faille rejeter définitivement tout apport extérieur. Juste se montrer débrouillard dans ce que l'on demande et à qui, où on cherche.

renarde20 a écrit:L'ouverture de ce fil correspond à l'aboutissement de la maturation de cette évidence : Je veux comprendre, savoir, pour accepter et enfin être qui je suis. Pour cela je ne ferai plus jamais une confiance aveugle à quiconque qui ne soit capable de me comprendre parce qu'il fonctionne au moins en partie comme moi.

J'ai des pistes, des idées, mais seule ça représente peu de choses.

Que pensez vous de l'idée de nous unir, de poser nous même les questions, les pistes, les désidératas, les limites, l'éthique essentielle, pour ensuite la soumettre à ceux qui nous demandent si fréquemment de donner de notre temps, de nos cerveaux ?

Evidences pour moi de la nécessité de rencontres, de tables rondes, d'explications, d'interactions, de retours dynamiques.
Besoin de savoir, de comprendre, mais surtout et avant tout d'être respectée et prise en compte, en tant qu'humain, en tant qu'hypersensible, avant même que de l'être en tant qu'HP !

Qu'en pensez vous ?
Quelles sont vos idées, vos envies, vos ressentis ?
Pensez vous possible de nous unir et de nous occuper de nous, de faire entendre plus fort ce que chacun chuchote à son niveau à l'oreille d'autres ?

Pourrais-tu préciser ton objectif stp ? Car là tu sembles parler de deux choses très différentes : une démarche, il me semble, personnelle de compréhension et d'acceptation de ton vécu et de ton identité, et une démarche scientifique d'étude.
Dans le premier cas, qui me semble dominer ton intervention, je pense que ton post aurait plus sa place dans la partie "vie de zèbre" ou dans les "discussions générales liées à la douance".
Dans le second cas (recherche), je pense qu'il faudrait préciser les questions de recherche (théorique ou appliquée) que tu souhaiterais aborder et le mode de fonctionnement que tu proposerais pour avancer.

L'idée serait de faire de nos expériences personnelles un tremplin pour mieux comprendre et faire comprendre ce monde qui est le notre.

Je suis impliquée dans la recherche, connais son fonctionnement.
J'ai aussi passée cette dernière année la majeure partie de mon temps avec des "HP".
Sentiment premier de reconnaissance totale, puis des nuances, des attentes, des demandes différentes.

Errances thérapeutiques personnelles et de proches aussi. Nombreux murs, incompréhensions.

Désir de pouvoir réunir les "souris" et la recherche, de prendre le sujet par la bonne approche.

Je ne parle pas ici de reconnaissance personnelle, mais au contraire de démontrer notre capacité à percevoir, analyser, résoudre.
Nous nous connaissons, nous grandissons aux reflets des "miroirs" que nous sommes les uns pour les autres. Qui mieux que nous pour poser des définitions, des hypothèses.

Besoins théoriques pour savoir quelles sont les différents "visages" de ce que l'on nomme zèbres, HP, HQI, surdoué, Asperger de haut niveau.
Définitions tant psychologiques (pathologiques ou non) que physiologiques et biologiques.

Besoins thérapeutiques : offrir à chacun des options adaptées pour se comprendre, s'accepter et vivre.
Combien de médecins connaissent ces définitions, nos besoins, nos caractéristiques, notre sensibilité et résistance à la douleur, nos spécificités face aux substances médicamenteuses ...
Combien de thérapeutes imaginent la souffrance derrières les silences, l'empathie extrême, les logiques d'hyper adaptabilité qui sont les nôtres et qui impacte à coup sûr l'alliance thérapeutique et la thérapie.

La première étape est un débat d'idées, puis des discussions avec des chercheurs et des médecins, puis un retour pour adapter les solutions aux demandes, et non pas l'inverse ...

;*ùpokqokg$

Je lirai plus tard, juste pour ne pas "perdre le fil"...

Ours a écrit:;*ùpokqokg$

Hypothèse plus que pertinent très cher ami, je la note et espère que nous en discuterons plus en détail très bientôt

Ours a écrit:;*ùpokqokg$

Je lirai plus tard, juste pour ne pas "perdre le fil"...

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Dauphin