Présentation sur soir...

Bravo Orchidée !

La plupart du temps, laisser faire empire la situation, et les abus de pouvoir se répercutent sur d'autres aussi. J'ai appris que le plus souvent il valait mieux dire, refuser, porter plainte s'il le faut plutôt que laisser faire par peur d'être dépassée ou par peur des conséquences. Poser des gestes, curieusement, ouvre à d'autres conséquences inattendues, mais aussi à celles qu'on a évaluées et qu'on assume. Ce n'est jamais simple, on n'a pas forcément envie, ça ne résout rien dans l'immédiat. Mais je préfère toujours passer à l'action que de subir. C'est une façon de se maintenir droit et de dépasser la peur.

Bonjour Eclaircie. Tu sais, c'est juste étonnant tout l'effet que ça fait dans mon organisme. Tout c'est apaisé, physique et psychique. Et l'énergie qui passait dans la lutte stérile et tout le cortège de frustrations qui s'en suivait, donc cette énergie est utilisée pour ma propre vie et faire les choses que j'aime! En m'la jouant au don quichotte avec ce malade, littéralement, je lui donnais mon énergie! Brrr!!! ça me fait frémir juste d'y penser! J'vois une grosse tarentule s'éloigner pour aller chercher une victime ailleurs! Pouark!!!

Bravo, Orchidée !

À Ours. C'est l'histoire dont je te parlais l'autre jour en mp. C'est juste ahurissant. Et la participation de ces autres personnes! Sans que j'aie demandé à eux directement. Ouf! Le soulagement, j'te dis pâs!!!

Emilievole et Orchidée, je suis tellement fière de vous! Et oui, un changement en nous, un stop, un non, une autre direction, nous libère et nous font (re)découvrir en nous ses sensations et forces oubliées. Ça me fait de bien de vous lire et de voir que je ne suis pas toute seule à me donner les outils pour me sortir de la m*rde. Au moins, avec vous, je ne me sens pas enviée, je me sens égale et comprise.

@cathoo
YES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
@orchidée
BravAAAAAAAAAA ! Et merci pour le témoignage, pour ton 'geste'. Et les précisions : 'sans porter personne'. Dans le mille, c'est ce que j'expérimente, et les effets sont très surprenants. Moi aussi je récupère de l'énergie, ouf !!
@Eclaircie
Je n'avais pas pensé aux conséquences dans ce sens là, ça me fait réfléchir...

@tous
J'ai justement eu ma mère aujourd'hui au tel, c'est ma soeur qui l'a accompagnée à l'hôpital hier. Et, elle va bien. Et, je n'ai aucune culpabilité d'avoir passé le relais à ma cadette, une victoire d'aînée. Et, aucune trace négative de mes dernières prises de position, pas de prise en charge déplacée non plus. Pas de réassurance, du style 'ne t'inquiète pas je vais très bien occupe toi de toi maman', même pas sous la forme de l'humour que j'utilise si souvent pour la 'soulager'.
Mon fils est rentré aujourd'hui, sur la défensive : trois jours avec ses grands parents non zèbres, et c'est dur. Je me recentre sur lui, sur les pierres indispensables à poser dans les jours et semaines qui vont venir. Voilà où va aller ma nouvelle énergie, vital non ?

Abbracci, HA

Em'

Hello !!Em', Cathoo, Eclaircie !

Bonne et Belle Energie !!!!Par ton attitude ferme et bienveillante :
l' apaisement se fait ........Et, déjà, il faut te recentrer sur ton fils !!!!!

Je suis également adepte de l' action contre le chagrin, l' ennui , les angoisses, les manipulateurs..........cela amène le positif !!
Abbracci

Aerienne: coucou! L'action oui! Comme je n'ai pas d'enfant ni de conjoint je centre mon action sur moé (à part sur les chevaux)... ça fait du bien aussi. Mais si quelqu'un me demande un service ça me fait toujours plaisir de canaliser mes actions à l'extérieur!

C'est justement mon rapport à l'action qui est en train d'évoluer...
J'aime l'action, et c'est un euphémisme.
Mais j'ai mené trop d'actions 'dangereuses' pour mon équilibre, parce dans une certaine inconscience de ma quête, de mon handicape, de ma vraie force aussi, et du degré réel d'hostilité de l'environnement. C'est fou comme la simplicité s'impose : quand on connaît le poison, le danger est là, mais on n'a plus peur de tout ce qui bouge tout en nous attirant. Il ne me viendrait pas à l'idée de boire du pétrole, ni d'en avoir peur. C'est ce processus qui se met en place rapport aux NT.
Quand je vivais à Rome, l'action était permanente, j'ai bugué en rentrant pour surchauffe, des mois pour m'en remettre.
L'action était synonyme "d'extérieur" pour moi, maintenant c'est différent.
Pour l'instant, le constat est... dur : ma vie est en mauvais état. Mais c'est tellement plus simple de la reprendre là où elle en est, et de laisser faire mes intuitions.

J'ai trouvé ça tout à l'heure sur le net, je doute fort que ce soit de Chaplin, je crois que c'est présenté comme ça pour qu'on le lise, c'est pas mal, je partage :
"Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.
Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter.
Du chaos naissent les étoiles.
Charlie Chaplin."
Baci ragazzi,
Em'

^^ merci qui? merci Friedrich.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect.

J'ai déjà voulu faire des relations trop vites... Mais même si je le voulais fortement, je n'ai pas forcé la personne, je l'encourageais. Déçue souvent. Et puis j'ai cru que ma volonté était trop transparente, que j'ai fait peur à cette personne avec cette volonté, et donc que j'aurais abusé en essayant de ne pas abuser... Drôle... Je méditerai.

Pour le reste, c'est à travailler encore de temps en temps. Il y a des jours où je m'aime pour de vrai. Puis ça repart et ça revient. Je m'oublie. J'oublie ce que j'ai appris. Puis ça me revient et je re-comprends pourquoi je me suis déjà aimée.

Je suis peut-être Alzheimer?

Merci pour ce partage Emilievole!

Merci Emilievole, pour ce "Le jour où je me suis aimé pour de vrai..."

A afficher en grand, encadré, sur les murs de la maison, et_pourquoi pas_sur ceux du bureau...

@ coucou cathoo - tu as bien raison !!!!
hyperactive : entre ma tribu au sens large - mon homme, ma famille(mère, un frère en couple, 2 soeurs en couple, une nièce en coupleet sa petite fille de 3 ans , deux neveux, en couple ,un filleul en couple, mes ami(e)s -mon job , mes passions (avion, peinture, sport, cuisine) etc je prends quand le temps de m' occupper de moi !!!
@ Em' - Fleurblanche ''le jour où je me suis aimé pour de vrai'' : que c' est beau ! cela m' a fait beaucoup réfléchir..........J' en ai mis du temps à m' aimer pour de vrai ! trop de temps sans doute et avec des fluctuations !!

" nous ne devons pas avoir peur de nous confronter "

Emilie, les mots sur l'écran disent peu..mais on est là, on te reçoit 5 sur 5. Merci pour ces belles paroles!

Merci à vous ragazzi !

@fleurblanche
Moi aussi j'ai eu envie de le mettre au mur : aussi pour les petits qui passent par chez moi (et les petits dans les grands que ns sommes devenus ), par étape, qualité par qualité, semaine après semaine... tu me motives, thanks !

Blurk--greu-grip-grip
C'est le bruit de ma fin de journée... journée de rentrée scolaire, plus stressée que le petit avec qui nous avons abordé à mots découverts la zèbritude hier. "AAAAAAAAAAAhhhhhhh ! C'est pour çaaaaaaaaaaaa que vous parlez tout le temps de zèbres avec Papa en ce moment !!!" Ce fut son seul étonnement, le reste, balayé rapidement : OK, c'est déjà un gros paquet (vus vos têtes), on passe à autre chose, faudrait finir la cabane pour les chats non ?
Levés très tôt, fou rire au petit dèj, on peut dire que la journée commençait de façon exceptionnelle... pas pu m'empêcher de faire le décompte, ben oui, alors la dernière fois, c'était... c'était... il y a trois ans. Et c'était en Italie. Ok, trois ans pour s'en remettre donc, Ok, merci pour l'info, on y réfléchira à deux fois avant de repartir, ou alors avant de revenir !
J'ai pris les choses une par une, pour ne pas céder au chagrin, pour ne pas céder au stress, pour ne pas céder. Déroulé, déroulé, enchaîné, enchaîné... et merde. J'ai pas eu assez de pause entre deux, et j'ai bugué de fatigue à 18H. Blurk--greu-grip-grip. L'âme en berne. Pourtant, j'ai été attentive à faire une version de journée light, mais j'ai pas compté les pauses, j'ai voulu faire comme tout le monde je sup-pause. Ah ! Bordel, ça se niche partout cette histoire-là.
Aller, une bonne nouvelle, j'ai encore une chance : demain ça recommence !

Je ne connais l'effort que j'ai fourni qu'au repos qui m'est ensuite imposé... abyssal.

PS : précision. Une pause : un moment de parfaite solitude avec moi-même. Et dire que je me permets de préciser un truc pareil sur ZC... pff.

Accro à ZC... rare sont ceux qui y échappent. lol

Cathoo, tu me donnes le lien de ta présentation ? J'ai l'impression que je ne l'ai pas lue................................. ?!!!!

http://zebrascrossing.forumactif.org/t3844-cathoo-lancien-titre-semblait-pretentieux?highlight=cathoo

Coucou Em',

Je t' envoie un brin de muguet : bonheur, chance et passion !!!
mais aussi apaisement, des pauses !

Abbraccio

Ciao ciao,

(Comment on fait les spoilers ?)

Journée soleil cadeau hier, de l'énergie qui tente de se frayer un chemin dans les veines.
Quel vide, impressionnant.
Impressions alors : coincée entre-deux tours, les vieux démons tentent leur propositions.
Le joie est absente, je pense à elle.
J'ose : je n'ai que mon intuition pour pleurer... c'est déjà énorme hein ?!
En restructuration, je sens la croisée des chemins.
Fini hier soir d'un trait, un vrai trait de fin, comme si je l'avais déjà fini il y a une semaine, l'enfant surdoué de JSF.
Les pathologies m'ont prises à la gorge. L'inhibition intellectuelle comme un élagage suicidaire de son identité, eurk, ark, au secours... J'ai survolé l'adolescence, rien de d'y repenser c'est trop dur.
Puis le doute, mais pourquoi ce doute ?
Parce que ces 2,1% me semblent impossible. Parce que je dois me confronter au test via mon petit. Que si je peux admettre être un peu plus intelligente que la moyenne, le surdon me semble impossible.
Quelque chose se referme, donc oui, quelque chose va s'ouvrir, c'est tellement flou.
Admettre la vitesse, c'est allé vite ces dernières semaines, et c'est normal, c'est moi.
Maintenant ?
Maintenant nos discussions nocturnes ont cessé, parce que les contingences ont repris le dessus, le dialogue s'est tari, ça me rend infiniment triste.
Je sais que c'est là, accessible, les visions fortes de la vie, je dois tendre la main.
Les visions fortes de la vie.
Et je reviens sans cesse sur ce fa-ci-le.
Mon couple vient devant. Je 'vois' la proposition : quelque chose se rejoue, j'en ai pas envie, mais je connais le principe, c'est le chant du cygne (du signe). ça se rejoue avec une conscience modifiée pour y regarder, transformer en conscience.
J'ai compris son épuisement des mes pics, de mes voyages intempestifs. Compris que je devais admettre, prendre avec moi, expliquer que je n'étais pas en danger, et le protéger.
Et je regarde, je nous regarde dans notre valse du 'quotidien'. Son masque NT est très fort, alors j'hésite. Ses moments d'ouvertures sont brillants, au sens large. Les autres ternes, au sens large. Au delà du jugement, il est hyper-sensible, hyper-doué, mais nous sommes tellement différents que la zébritude, je ne suis plus sûre qu'elle nous soit commune - au moment où je la remets en question pour moi-même, tiens-tiens, intéressant pour comprendre pourquoi ne pas l'assumer... - J'ai de fort très autistiques qu'il n'a pas, ça fait une vraie différence. Mais, quand il vient à mes côtés, vraiment, il éclaire tout autant que moi. Mais c'est vrai, c'est moi qui ouvre le bal, presque toujours, en tout cas toujours hors conflits. Est-ce que je le guide, ou est-ce qu'il s'ouvre ?
La question de la facilité revient. Je vois dans ces yeux : ben oui, ça c'est facile pour elle.
C'est ce point qui est en question, le lit de la concurrence inconsciente.
Je ne me sens pas en sécurité, et dois le résoudre, c'est la proposition.
Et je reconnais la ligne : quand Elle y aura réussit, alors je saurai que c'est possible, et je pourrais suivre.
Et je me sens seule avec ça. Parce que cela ressemble plus à une ligne NT + zèbre, que z + z.
(Je sais que c'est intime ce que je dis là, mais au delà des apparences, je sais que c'est important d'en témoigner ici.)
Admettre sa solitude sur ZC, plus fa-ci-le que nulle par ailleurs.
Il est fort possible que je souffre d'une confusion sensitive, comme je commence d'en prendre conscience avec les copines ici : je ressens des choses, les transferts des autres pour faire soft, qui ne m'appartiennent pas. Il est fort possible que je porte son doute... oui, je regarde notre vie, et ça me semble même évident.
Mais j'ai ouvert une autre voie, celle de cesser de porter ce qui ne m'appartient pas, celle de faire confiance à mes intuitions.
C'est avec ça que je dois aborder le problème, parce que oui, il y a en a un.
Voilà, je continue de réfléchir en 'parlant' toute seule, c'est comme ça que je comprends le mieux...
Je suis fatiguée de le voir galérer, autant si ce n'est plus par moment, que de me voir galérer : de mon côté, je trouve toujours des ressources (et c'est pas peu dire). Souvent, j'ai été sidéré qu'il n'aille pas en inventer. Je crois que je tombe sur un os, un vrai, mais
je ne dois pas paniquer : quand on se restructure, les os, c'est essentiel non ?!

Je ne sais pas comment vous dire ça autrement : vous me manquez.

Un abbraccio,

Em'

Bonjour Em', merci d'exister .

Merci Siamois...

Yes !!! Merci Saphodane !

Em'
Suite à ton post : cela m' amènne les réflexions suivantes - je te les livrent comme elles me viennent .....
La zébritude s' exprime de façon différente selon la personnalité, le vécu, l' éducation, mais aussi le sexe....Un homme peut très bien etre zèbre est resté ''coincer dans ses émotions'' être inhibé intellectuellemnt ou en faux self comme un homme 'NT'' à cause de sa personnalité ou de son éducation...

Et, certains hommes ''zèbre ou non'' ont peur des femmes 'zèbres'' !!!!!

Le mien d' homme 'quand je lui ai fait part de ma zébritude'' il a d' abord réagi avec pragmatisme pointant du doigt un de mes échecs dans le passé puis on a amorcé un dialogue !!!!Je pense qu' il zèbre mais enfférré dans son conformisme , son faux self !!!!son éducation !!!!et il se ment à lui même - il commence à le reconnaitre mais cela ne fait pas avancer beaucoup les choses !!!!!!
Bon courage : tu va y arriver à reconstruire :

Je t' embrasse

Oui aérienne, je te suis.
Ce qui provoque le doute c'est que, les NT aussi peuvent être en faux-self, inhibé, etc, et qu'ils peuvent aussi être doués dans certains domaines, tout ça ne nous est pas réservé tout ça (je le dis autant pour moi, pour discuter, pas contre toi bien sûr). Je traque le fonctionnement chez moi qui est de vouloir, parce que besoin non assouvi pdt des lustres, me reconnaître en l'autre. On sait combien ce fonctionnement est destructeur sur nous chez les NT. Oui les hommes ont peur, et nous avons peur. Mais comment dire ? J'ai besoin d'arriver à la véritable question, la bonne question, pas de m'occuper par la 'diversion'. Je dois faire fi de mon besoin de reconnaissance (c'est à dire le combler par ailleurs et ne pas le laisser prendre une place faussée), pour me concentrer sur la réelle obstruction. Je ne sais pas si je suis claire...

Oui Em' je te comprends !!!
Tu as besoin de clarifier si ton Homme est ''zèbre'' ou ''nt''!!
et de voir où est le vrai problème ????
la réelle obstruction !!!
Sorry, si je n' ai pas bien collationnée !!!!
De ma part, ce n' était qu 'un retour d' expérience : je ne faisais aucune analogie .....

@Émilie

Évoluer, quand on trouve enfin une explication à sa différence, c'est très compliqué. Tout se repositionne face à cette découverte. Ce que l'on a vécu, son départ du pays natal, sa rencontre, sa situation professionnelle, ses luttes, ses relations, tout y passe. Il y a relecture et curieusement, l'image de sa vie, ce vase brisé et recollé grossièrement explose et se ré-assemble, cette fois-ci sans fractures.
Mais au prix de quelles angoisses, de quels reniements, de quelles déceptions, un sentiment d'erreurs répétées depuis combien d'années, un goût de gâchis mais aussi une volonté farouche de ne plus se trahir, une cohérence presque à toute épreuve, une ouverture sans craintes (mais pas sans naïveté) vers la vie.
Quel âge as-tu "en zébritude" : 2 mois à peine. Regarde le chemin parcouru !

Celui qui vit près de toi est obligatoirement resté celui qu'il était il y a deux mois et il s'inquiète. "est-elle toujours celle que je connaissais ? ", "que devient-elle ? ", "où va-t-elle ? ". La révolution que tu as vécu, il doit en prendre conscience, il doit pouvoir prendre le temps de la comprendre et de l'accepter. Vous avez déjà fait une partie du chemin ensemble mais cela va trop vite pour lui, car il n'est que spectateur. Il a peur de voir sa femme partir, le quitter, faire en quelque sorte ménage à 10 ou 15 avec tes copines et copains Z. Ce n'est pas qu'une question de NT+Z ou de Z+Z, une question qui n'a pas de sens. La conjugalité n'est pas une résonance sur les mêmes harmoniques, mais l'addition des différentes résonances pour en faire un son complet. Un violon a 4 cordes pas 2 et heureusement pour nos oreilles. Un couple n'est pas un clonage, mais un assemblage et qui dit assemblage dit différences.
Ce qui fait de toi une zébrette c'est une fulgurance sur certains thèmes et une quasi complète inadaptation sur d'autres : une zébrette n'est pas Wonderwoman. C'est cette complémentarité fondatrice de votre couple qu'il faut valoriser, surtout à ces yeux. "sans toi, je ne pourrais être moi" : est-ce cela qu'il entend ?

A te lire, tu es encore en grand chantier, en grand doute. J'ai à peine 2 mois de plus que toi, je commence à voir arriver une relative sérénité. Je ne me pose pas en donneur de conseil, en marabout, très loin de là. J'essaie simplement de partager le ressenti d'un homme face à sa femme qui évolue brutalement vers un autre univers. En ce qui me concerne, la crise est arrivée avant la "zébritude" : il s'agissait de religion et de foi. Je l'ai vécu comme "elle a décidé de partir vers Dieu, et moi je reste là comme un con à payer les factures". La symétrie avec ce que tu dis est évidente, mais les différences sont évidente aussi. Tu n'es pas partie, tu évolue et tu évolue avec lui, la preuve : tu nous en parles.
Offre-lui tes faiblesses, tes dissonances, garde tes forces pour l'extérieur.

Je complète avec 2 citations d'Eclaicie qui m'ont fait un bien fou à un moment critique, autour de l'attente et de la reconnaissance :

Ne pas attendre. C'est quand on attend, tendu vers ce qui devrait arriver, qu'on passe à côté de ce qu'on ne voit pas.
Ne pas s'accabler, se sentir coupable. Être bienveillant envers soi-même. Tu n'es pas nul. Être nul ne veut rien dire. Tu es.

Les périodes sombres, sans espoir, semblent sans fin, mais ce sont des occasions de profonds changements, parce qu'il n'y a rien à perdre. Donc, tout est possible. Et si l'énergie n'est pas là, si la force semble une idée lointaine, alors prendre soin de soi. Avec douceur et respect.

Courage est un mot qui suppose qu'il y a un combat à mener. Je préfère patience. Laisser arriver, accueillir ce qui vient. Se reposer. Voir et regarder, sentir et respirer. Et puis loin de la grandeur et de l'éclat, il y les petites choses, qui peuvent être très belles dans leur lenteur, leur discrétion

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je commence à comprendre, à sentir, que le vide n'existe pas. Le vide intérieur, c'est l'absence de ce qui n'a jamais existé. Qui n'existera jamais, mais qu'on cherche désespérément. Quand on cesse de chercher, le vide s'efface. La peur des autres, c'est la peur de soi, et la peur de soi, c'est la peur du vide. Le vide, c'est le trop plein des attentes, des autres, de soi-même, donc de ce qui n'a jamais existé

Peut-être te parleront-elles, si c'est le cas, c'est elle que l'on doit remercier.

+1 Ours et +1 Éclaircie

C'est quoi NT?

À Orchidée: Neurotypique = NT

"Définition":

http://troubles-normaux.kazeo.com/diagnostiques/le-syndrome-neurotypique,a1903730.html

OU

Abréviation de neurotypique, terme utilisé dans le domaine de l'autisme pour parler des gens « normaux » en référence au principe de neurodiversité et lié aux mouvements pour les droits de la personne autiste.

http://fr.wikipedia.org/wiki/NT

Vos messages là au-dessus m'ont amené à cette réflexion, que je ne crois pas "hors sujet"

Je crois que construire une société où l'on a peur les uns des autres n'est pas une bonne chose.
C'est peut-être une des différences entre ici et ailleurs : ici on a moins peur des autres, ou au moins on arrive plus à passer par-dessus sa peur. Ce qui petit à petit nous permet d'avancer.

@Emilievole : courage !

@Ours : merci pour la citation ci-dessous, elle m'offre des pistes de réflexion, quoique j'ai toujours pensé qu'il fallait se ressembler assez pour se compendre, et être en même temps suffiamment différents pour "s'apporter" l'un l'autre, s'enrichir récipoquement, se compléter...

La conjugalité n'est pas une résonance sur les mêmes harmoniques, mais l'addition des différentes résonances pour en faire un son complet. Un violon a 4 cordes pas 2 et heureusement pour nos oreilles. Un couple n'est pas un clonage, mais un assemblage et qui dit assemblage dit différences

Ciao raaaaaaaaaaaagaaaaaaaaaaaazzzzzzzzzzzzziiiiiiiiiiiiiii !

Avant de vous répondre, j'ai parcouru les 10 pages de ce fil... je ne l'avais encore jamais fait, de nous 'relire'.
C'est dingue tout ce que nous avons échangé, riche, émouvant, cette synergie.
Hier, soirée particulière dans mon chaos du moment : j'ai vu un ange, en vrai... oui, un verre de rouge au milieu d'une discussion avec un hype angel !!!!!
C'est pour ça aussi que j'ai tout relu, pour nous 'voir', dans toutes nos singularités, je le répète, ce qui se passe ici n'est pas banal.
C'est la pudeur qui m'a sauté aux yeux, la pudeur, le respect et la générosité.
J'ai eu tellement peur de vous accabler, avec mes ennuis, avec mon désespoir, et je regarde ce que nous avons tricoté, de la haute-voltige.
J'ai lu un 'Zèbres, réveillez-vous', et bien ici, tout le monde me semble bien, mais alors bien réveillé !!! Tiens, un rayon de soleil justement...

Merci Ours pour ton post, ça m'a fait comme une grande respiration : tu parles toujours d'amour, c'est toujours ça que j'entends, un amour profond, qui apaise.

Justement, ça avance.

Mon parcours en zébritude. Il est fait de différentes étapes : 1 une psy géniale qui m'accompagne durant 8 ans, zèbre maman de zèbre. 2 la lecture de l'Enfant doué(e), il y a environ 8 ans. 3 ZC et les HA (Hype Angels pour les néophytes !). Une précision importante, parce que tout ça n'est pas complètement nouveau, disons parachuté dans notre vie.
La nouveauté, c'est patent, c'est vous, c'est ce partage inouï, cette façon très particulière de se construire ensemble, de savoir tirer la quintessence (comme dirait FB) de nos histoires. On en parlait hier soir : comment ça marche ? J'avançais la force de se raconter, et d'avoir le droit de lire l'autre, sans obligation d'interaction. L'accès direct au droit de se raconter, de réfléchir sur sa vie sans être une célébrité, dont on lit les bios désignées. Et de lire l'autre sans en être voyeur, un rapport au public réinventé.
Il est inquiet, oui, c'est là. J'ai envie d'ajouter, Il est encore inquiet.
J'ai envie de vous raconter une de mes relations les plus proches, celle avec une amie NT qui vit avec un homme qui se découvre, et qu'elle découvre Z, et donc pas fou, entre autre. Notre relation est riche et essentielle pour nous, parce qu'elle me dit en toute sincérité comment elle fonctionne, réagit, dit ou ne dit pas, souffre ou apprécie avec son homme. En retour, je luis décris ce que je traverse. Nous avons ainsi une piste de version Off de ce que l'autre peut vivre dans pouvoir pour autant le nommer. Nous avons parlé de la concurrence hier. Elle m'a dit tout de suite : mais est-ce qu'il s'en rend compte ? Elle s'est donnée en exemple, me racontant que son homme lui avait parlé de ses attitudes à elle qui transpiraient l'envie. Sa réaction a été très nette : je ne m'en rends pas compte. Ces attitudes, je les lui ai vu, face à lui, face à moi. A vouloir avoir raison, à vouloir montrer qu'elle n'était pas sotte (ce que personne ne se permettait de lui dire, parce que ce n'était jamais la question, vous le suivez...) Vouloir montrer à tout prix qu'on existe, qu'on comprend, peut faire obstruction au sens, comme empêcher un cheminenent, une pensée de se développer dans son élan, de s'épanouir. N'ayant pas du tout la même notion de la nécessité de la vérité et de l'arboressence de la pensée, elle est préoccupée par continuer 'd'en être'. C'est là que l'idée de l'invasion me semble importante. Cette obstruction est une forme de protection insconciente, au delà de l'égo, de la concurrence. Cette amie me dit souvent combien elle est reconnaissante à son homme de tous ces projets formidables qu'il a porté pour eux, cette reconnaissance me touche, fait signe de maturité pour moi (ils sont tous deux plus âgés que nous). Quand je le lui fait remarquer, elle tique : c'est vrai que j'ai de la reconnaissance pour lui, mais ... je ne lui dis en fin de compte que très très rarement.
Je voudrais réussir ici à témoigner de cet écart dont je suis le témoin : cette femme souffre horriblement des sautes d'humeur de son mari, qui lui 'tombent' dessus, et dont elle ne peut plus supporter la violence. En sa présence, à lui, elle n'en montre rien. Pas qu'une question de pudeur, de courage, ou de je ne sais quoi, elle est réellement occupée à autre chose. Qu'elle semble incapable de discerner. Ce que je vois, c'est qu'elle est occupée à se nourrir, à se nourrir de lui, dont l'énergie (intelligence, idées, charisme, etc) émane naturellement de lui.
Et cela me ramène sur ZC. Ce qui m'a frappé, entre autre, en arrivant, ce sont tous ces posts où l'on se désole de la 'connerie' des autres. ça m'a rappelé la radicalité de mon adolescence : mais qu'est-ce qu'il est con celui-là ! Puis la vie passe sur tout ça, on découvre toutes les formes d'intelligence, des gens brillants puants comme des teignes (oui, ça pue une teigne, non ?!), et des personnes à la simplicité lumineuse. On apprend que chaque vie a droit au respect, et surtout, on découvre ces âmes qui ont accès à l'apaisement dans la simplicité, parfois le dénuement, de leur vie. On comprend que tout ça est bien plus subtile et complexe qu'il n'y parait. Et on relativise tout, tout de soi aussi, et le refoulement y tient sa place.
Tu me dis Ours, de montrer mes limites, mes failles, mes faiblesses à mon homme : nous y sommes. Ces jours de chagrins intenses, il les a tenu à bonne distance, pour ne pas dire qu'il s'est carrément coupé de moi. J'appelle ça la tyrannie de l'harmonie. Ils ont ça en commun avec cette amie. Lors de l'urgence pour ma mère , ils ont tous deux, eux qui m'aiment vraiment beaucoup, réagit de la même manière. Ils se sont coupé de moi : l'intensité de mes émotions, que tu as tout de suite noté toi aussi, leur a été insupportable, purement synonyme de danger. Ils ont banalisé à l'extrême l'événement, dans une proportion notablement anormale, absurde - ma soeur qui était avec moi (pas Z) en a été choquée autant que moi. La peur, la tristesse, la colère, ne m'ont jamais inhibée en cas d'urgence. Je sais réagir. Dans le cas présent, il y a eu irresponsabilité notoire : de notre médecin de famille, de ma mère, et d'une de ses amies. Ce cas est intéressant, car si j'ai pu me laisser enfumer dans d'autres situations (tu exagères, tu dramatises), là l'urgence était réelle, vraiment tangible. J'ai laissé exploser ma colère, avec eux, mais à aucun moment avec ma mère, ou ma soeur, ou les urgentistes, ou à l'hôpital : là j'ai assuré, agit, adoucit, enduré sans appuyer sur quiconque. J'avais besoin d'évacuer pour pouvoir justement assurer derrière. Et j'imaginais que c'était avec mes plus proches que c'était possible. Et non. Leur incapacité à eux de gérer mon émotion, a abouti à un message clair : tu ne peux pas compter sur moi. La différence avec les autres expériences, c'est que cette fois ça m'est apparu très clair, et que j'ai coupé net. Ils en ont été tous les deux choqués, et ont armé le conflit. Ben quoi ? Ben qu'est-ce qu'il y a ?! Et à me chercher de plus en plus fort. Résister, c'était garder mes forces pour m'occuper de la véritable urgence, sauver ma mère. En clair, je n'avais même pas le temps de m'occuper d'eux.
Et ça me renvoie à la reconnaissance, ou plutôt à l'impossible reconnaissance, au lien tabou parce que trop particulier qu'ils ont à moi, lien chargé de trop de mystère, de trop de paradoxes pour être plus précise. Ce lien là, c'est celui que ma mère a avec moi... Vous l'aurez compris, j'aime infiniment ma mère, je n'ai qu'elle, et cela renforce encore les liens. Comment, de leur endroit, peut-on aimer pleinement d'un amour si singulier ? Ce qui est différent d'aimer quelqu'un de singulier. Il y a un véritable tabou, né du paradoxe vivant que nous sommes, et de l'attitude paradoxale de la société envers nous. Je pense que les personnes non z qui nous aiment, sont elles aussi dans un isolement profond, de l'ordre de l'indicible. Dire combien notre sève les nourrit les expose, et ne pas le reconnaître les expose aussi. C'est en grandissant, en nettoyant, éclairant mes propres paradoxes que je veux réussir à démêler cette situation, où j'entends l'amour hurler de ne pouvoir se donner, de ne pouvoir incarner ses visions, de ne pouvoir voir naître cette acceptation de la collaboration volontaire. A entendre le mari cette ami parler, je discerne l'idée de l'autorité naturelle, trop galvaudée par nos sociétés n°3 (énneagramme). Je le vois : nous le portons, nous portons cette autorité, ou plutôt ce qui fait autorité en nous. Et nos proches ont enregistré cette information par tous leurs pores. Quand nous allons mal, quand nous faisons en quelque sorte défaut à cette autorité, nous devenons tyranniques.
J'ai été très attentive à vivre en moi l'intensité de mes hauts et bas de ces derniers jours : ce n'est pas la qualité de ces émotions (joie ou chagrin) qui a joué, mais bien leur intensité. Débrouille-toi avec ça ! Voilà le message de mon homme. J'ai pris, avec moi, et j'ai modifié la donne. Avant-hier, je l'ai vu, seul, perdu, perdu dans ce qu'il avait réclamé, théorisé, prophétisé : sa vision du monde. Je lui manquais, et il ne pouvait pas me le dire...

Je dois y aller, un abbraccio

Emilielove (comme dirait Siamois )

Pfiou... trop intéressant, un énorme merci.
Et donc courage, car je crois que c' est bien de cela qu'il s'agit.

Em'
Le principal c' est l' amour profond qui vous relie toi et ton mari !!!!
Au delà des différences !!! des incompréhensions !!!! des façons de resentir différents ! l' amorce d' un dialogue !!!!

Bon courage !!!

C' est beau ce qui tu as écris sur les échanges, nos échanges sur zc!!!

Abbraccio !!!!

siamois93 a écrit:Vos messages là au-dessus m'ont amené à cette réflexion, que je ne crois pas "hors sujet"

Je crois que construire une société où l'on a peur les uns des autres n'est pas une bonne chose.
C'est peut-être une des différences entre ici et ailleurs : ici on a moins peur des autres, ou au moins on arrive plus à passer par-dessus sa peur. Ce qui petit à petit nous permet d'avancer.

Se laisser traverser par les autres, c'est aussi une incitation au mouvement. Taire de sa vérité pour entendre celle de l'autre conduit naturellement à se revisiter. S'offrir en confiance et savoir qu'on sera reçu comme tel, c'est une expérience inoubliable.

L'autorité, et le charisme. Cet incroyable charisme que nous décelons chez les autres, dont nous sommes porteurs sans y croire, comme un fardeau, une épreuve, la preuve que nous ne valons rien. Ce qui crée le "faussé" si souvent, et parfois la rencontre, si belle, si intense, si bouleversante.

C'est tellement émouvant. Et c'est vrai... Et c'est drôle que tu en parles maintenant, alors qu'hier j'ai écrit ça:

Spoiler:

Toi, tu as trouvé ton (plutôt tes) Watson dans la vraie vie. Et merci de partager cette expérience pleine de tendresse.

Ah ben ça c'est l'exemple du siècle ! Thanks Cathoo.
J'avais vu un extrait du dernier Sherlock Amerlock avec mon homme justement, bof bof, mais de le voir dans ses états seconds, tout drogué, puis inspiré à s'en faire péter la tête, m'étais dit tiens-tiens, j'adore ce personnage................. !
En plus, encore un qui réfléchit en parlant non ? Elémentaire mon cher... OK, j'arrête ! Un couple à égaler donc : ils semblent bien d'accord pour collaborer des deux-là ! A méditer.

@ours, seiphys, éclaircie, aérienne, saphodane, siamois e tutti quanti

@orchydée
merci pour ton iceberg lu ailleurs, très précieux pour moi

bonjour tous...
je vous lis..
je crois qu'on avance très très vite comme l'a dit Ours. mais pourtant il y a toujours un décalage soit entre un bout de moi et l'autre bout de moi, soit entre moi aujourd'hui et le soi en moi par qui je voudrais être tout entière inspirée, soit entre moi et le compagnon, l'ami, le parent, le groupe, la société, l'instant......................
je vous lis..
Pensée de patience et d'intuition..... Emilie.
vous....
carotte

Bouh... c'était dur, on a parlé avec mon homme, et c'était dur.
Je passe voir ma mère ce soir, et pars dans le Nord demain.
Je n'irai pas à Lille, mais du côté de Valenciennes, et un peu en Belgique.
Je ne sais pas si je pourrais me connecter... retour mercredi.
Abbracci carissimi
Em'

Bon voyage, chère Emilievole!

Grazie bella !

un changement d'air ..
je penserai à toi, pas si loin ..
je te le souhaite inspirant et rafraichissant cet air !
A bientot..

Bonnes pérégrinations !