Allez, un gros gros coup de nostalgie...

Ma vie
J'en ai vu des amants
Ma vie
L'amour ça fout le camp
Je sais
On dit que ça revient
Ma vie
Mais c'est long le chemin.

Ma vie
J'en ai lu des toujours
Ma vie
J'en ai vu de beaux jours
Je sais
Et j'y reviens toujours
Ma vie
Je crois trop en l'amour.

Ma vie
J'en ai vu des amants
Ma vie
L'amour ça fout le camp
Je sais
On dit que ça revient
Ma vie

Mais c'est long le chemin
Ma vie
Qu'il est long le chemin !


Ca m'apprendra à penser à ma mère de bon matin... (je sais vous voyez pas l'rapport)
P'tain... C'te déprime quoi.

J'vais aller écouter du Britney Spears tiens !

Le chemin cahoteux où les êtres s'amendent
Où les cœurs amoureux cherchent leur provende
N'est bordé que de ronces, et les feux de sarments
Qui, au bord de l'hiver, réchauffent nos serments

Ne sont que feu de paille. Alors évidement
Ils se passe que départs, après retrouvailles
Fasse que l'on soit mal. Attendre les semailles
Du nouveau printemps, mon Dieu que c'est lent

Et pourtant c'est ainsi, et de nos entrailles
Monte le cri lancinant de souhaits inassouvis.
Que le baume du temps lors, vaille que vaille
Passe sur notre âme la couche de l'oubli

Et polisse un peu nos humeurs vagabondes
Notre désir criant de perfection comprise
Le désir fou que toute barrière se brise
Et qu d'aucuns comprennent note intérieure ronde.

Prendre le monde tel qu'il vient est une gageure
Mais au delà de nos cris, au delà de nos peurs
N'est-ce pas un moyen de calmer nos humeurs
Que d'apprécier le présent heure après heure ?

Mon passé est l'avenir.
je regagne un lieu où jamais ne fus.
je cherche le grand delta
pour me jeter dans les bras des cieux.

Devant moi sont mes souvenirs,
un horizon à perte de vue,
je franchis le dernier pas,
pour renaître, insoucieux.

Fata Morgana a écrit:(Nostalgie = nostos = retour, algie = douleur.)

Marrant, je ne l'avais jamais réfléchi comme ça, mais toujours vécu comme ça quand même.
Ca porte donc bien son nom
Où est-ce moi qui l'utilise à bon escient... ?

Han... je te lis 2 ans plus tard. Cette putain de claque que tu me mets, là...