Un jeu qui ne manque pas d'air

Sans R, sans en avoir l'air... Vous fîtes des frites.

S'poiler:

Amatrice ^^

Ah, mais j'ai jamais dit qu'on allait jouer avec les règles du Pays de Galles (même si j'ai un ascendant Gallois dans mon arbre génial-logique... ceci explique peut-être cela...)

Bon, donc, je précise, vous choisissez, avec les règles du Pays de Galles ou autre.

On peut jouer avec des poutres ou bien il faut un seau de dés ?

Une page de pub le temps qu'on s'installe !

Des sots de D ?
Ah pourquoi pas ?

Oui, bien je consens, vite à l'ouest ce son bidonnant qui fait mal à la langue quand il fond dans le fond tout au fond, peu joli en plus quand il est vu avec cette péninsule qui penche à gauche (à cause de la glace), et cette base plate qui lui donne son assise vaine. Donc finie l'évolution avec lui au début. Finis les mai bondissants avec les pavés dans la main et dessous la plage. Finie l'effusion dans chaque gens quand ceux ci se voient et se bisent. La bise passe et l'absent ne s'entend plus. Il nous manque déjà.

A partir de 2'40

Y'en a qui ne savent pas à quoi jouer...

Non, mais c'est bien.

Bon, allez, je retente quelque chose.

Coudre sans dé, ça se passe où ? Dans la cour... euh ?

Message édité en pleine nuit ou comment une erreur peut rester un moment dans ma tête jusqu'à ce qu'elle donne l'alerte, comme ça, tranquille, m'obligeant à rallumer l'ordi et me faire du café à 4h du matin. Saleté de rouille dans le cerveau.

Sans "L" sans avoir ses ailles, vous irez rond mais pas d'hirondelles

Dis "rondelle" ?

Rondelle.

L'air frais parle des jours

(l'effet pâle des joues)

Trempette, tempête. Ca rime à rien.

Pabanalitor a écrit:Trempette, tempête. Ca rime à rien.

Oui mais on s’en moque tant que ça péte

(Pour rester dans l'esprit)
insensé, hier,... je ne pouvais pas hier, ni aujourd'hui... , j'espère demain me libérer

vagabondage

j'écoute de la musique

j'écoute mon slip

j'écoute le vagabondage de la pensée de la musique de mon slip

euh c'est quoi la regle du jeu alors?
j'ai pas assez de poutre, j'ai que des mini poutres...

bon je tente sans certitude, une relance à cul de poule de 2 :

Sans ma barbe, quelle barbe !
Il n'y a plus de consensus ni de Cuba sans cacao.

RIP Corbier!

A combien de l'heure on se paye en dollar en ce pays ?

Sans en avoir l'air, le parieur devient paieur. Cela se démontre et se démonte à la fois. S'il n'y croit pas qu'il reste coi ! Révolution de l'évolution. A l'arrière ? Aïe ! C'est dur mais c'est dû, du brut au but, la barrière de la baie se brise contre la bise, brusque et busquée. Dans le bar en bas une rangée d'anges, grêles et gelés. Au frais quelques fées dans leurs robes d'aubes qui s'effraient des effets d'un meurtre de la meute, crime aux plus hautes cimes. A la porte, un pote. Dans le port sa peau d'or vaut de l'eau, lui qui braque les bacs et qui d'une sirène a fait sienne, attirant d'une reine sa haine. Passe un rayon au hayon et dehors, de haut, le marin voit ses mains -- fermes pour les femmes et tendres quand elles se tendent, prestes elles pestent contre les contes et l'ogre qui loge dans les marais de maïs, qui broie du bois, crache et se cache, ravi par avis. Arrivé tard dans le tas, rodé à l'ode, le clerc cherche la clé en prêchant et en péchant. Écourtant le temps en écoutant le bruit du buis, lui prie la pie, la pierre et la pie, le pire et la pie et puisque comme toujours tout joue, reste droit comme il se doit.

Tes règles, Ho'tense, sont des aigles.

Pâle mais vivante, n'est-ce pas le plus important impotent… ^^ ou le plus beau… au choix.
Néanmoins il me semble … oui, je me souviens d'un bouquin où le -e- était absent, mais je tais le nom, il contient l'honnie ! ^^

Bisous !

Beau parleur, belle pâleur !

Cela fut bien et m'a redonné le goût d'écrire, le précédent dérivatif s'étant terminé et ma halte ici appréciée. Je resterai, même si mon temps accourci et que mes questions aient besoin d'un autre bastion. Il est des plaisirs de lire et de dire qui ne se refusent pas et des compagnies de pairs qui sont havres de paix.

Esprit s'élève pardessus les nuées.
Temps est affaire qui sait patienter.
Art maudit de l'arme honnie.
Les mots rayés zèbrent la nuit.

Hééééé, faut en laisser pour les autres, t'es survolté, Alim Electrique ?

Il en reste à l'est, Hortense. Cela est sûr, cela est su.

Le gars gras a trop bu, il est gris quand il embrasse sa souris aigrie sous le gui.

Sans thé, on peut simuler plutôt que stimuler.

Sans en avoir l’air, le barbare devient baba et son arme collecte les âmes, les arrachent à la hache, brisant les crânes à coups de canne et collectant les larmes du bout de sa lame. Comme à la foire, une à la fois. Dans la rage de son âge il pose ses trappes et tape les couards ! Quoi ? Sacré service pour sacquer les sévices. Et les voilà qui partent, tenant à peine sur leurs pattes, cueillis bien mûrs et mus de force dans la fosse en se répétant « maintenant nous errons pour des éons ! Zéros et haut dans la honte, couverts d’une couvée de ronces sans une seule once de répit pour subir les épis subits du chemin». Simple recueil d’écueils, fruit qui fuit le grain du gain. Passe un inconnu qui se dit : « vraiment véhément cet écrit ! » Et qui ? L’haruspice, dont les auspices emmurent les émus quand de son grand gant noir et noix il tire le Tarot du Tao, lui qui des insurgés fait un sujet, ceux qui crèvent sans sève et dont le dernier frein n’est même plus la faim. Un tort fait trop tôt aux pères de la paix, qui voulaient que leurs enfants en voyant une tarte la tâtent et l’approchent de la poche puis la dévorent en bon dévots.

Plus loin, du haut de son tertre, la tête rêvant par tous ses évents, le faux mage n’en fait pas un fromage. Féru de feu il dort sur le dos et lorsqu’il mord les mots, au bord du beau, se voit déjà préparant un sort pour les sots : et le frimeur fit : « meurs ! ».  

Certes cette phrase est en phase.

Pourtant… C’est fort mais c’est faux. En fait il ne brûle que dans sa bulle, rêve de son Eve et de vivre la vive varappe des vapes, la ronde des ondes et l’amour de la moue. De fait ses sourcils sont des soucis, car quand ils se froncent le voilà qui fonce, riposte et y poste sa carabine. Où ? dans sa cabine.  

Simple frou-frou pour les fous-fous et trajet étagé, très aléatoire pour aller à toi. Car dans le cas de ces règles qui sont des aigles, apparaît happé un drame -- le vrai drame de ces dames : la dualité du cœur et de la queue.

Cordée codée du sorcier-saucier qui voulait se cuire le QI et ne fait, en vérité, que d’un brouet sa bouée. Rhum des hommes, arôme à Ohms.

Texte un peu raide, mais ça aide

Édit : tu vois qu'il en restait !! Et pas des plus mauvais

Babha Horrum erra baba la barbe en bataille boudant et boudeur en boule et boule et rata plat. Abba ourdit Babha, Ada s’en hardait. Ainsi furent-ils mano in mano, à faire Lucer la lumière sur leur corps oints. Le coin les heurta. babha eut bobo, Abba, point. Ada leur servit son adage. Ils burent à leur santé. Thé consommé, Ada s’en fut toute ardeur allant avec Babha dans les bois. Abba sourdie, en sourdine pleura chaudement en son seul creux. En point de croix, indifférents, Ada et Babha se murent, enmêlés, dé jeté, habiles et bas. Ali survint neuf mois plus tard.

Sans en avoir l'air, le QI est un cuir qui tranche les tanches et rappelle aux queues d'être un cœur.

@izo : joli

Sans vouloir vous cirer les bottes, j'suis sciée, mes hôtes !

Merci Pour la route....!

Sans en avoir l'air, Paris est un pays.