La violoniste
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La violoniste
La violoniste
Je suis allé d'où tu revenais
nos sentiments se sont croisés
on n'est pas resté longtemps unis
parce qu'un bonheur ne reste pas impuni
Le malaise a chassé l'osmose
non, on ne ressent plus grand chose
comme la chatte d'une pute
qu'à pris trop d'coups d'bites
Nous sommes des baisers sans bouche
on se frôle mais jamais on se touche
on tient à garder le lien
qui ne retient plus rien
rien de réel, comme des vents qui s'enlassent
comme nos vieux rêves qui s'embrassent.
Je suis allé d'où tu revenais
nos sentiments se sont croisés
on n'est pas resté longtemps unis
parce qu'un bonheur ne reste pas impuni
Le malaise a chassé l'osmose
non, on ne ressent plus grand chose
comme la chatte d'une pute
qu'à pris trop d'coups d'bites
Nous sommes des baisers sans bouche
on se frôle mais jamais on se touche
on tient à garder le lien
qui ne retient plus rien
rien de réel, comme des vents qui s'enlassent
comme nos vieux rêves qui s'embrassent.
Re: La violoniste
Le Violoncelle
Mes doigts, ces araignées,
Qui, effilés, tissent la mélodie,
Sur ton phallus noir dressé,
Sont par le plaisir, endoloris.
Et mes mains qui te caressent,
Tes cordes qui les pénètrent
Puissamment je les presse,
En jaillit une jouissance secrète.
Jumelles destinées de deux corps entrelacés,
Moi, bohème amoureuse,
Je te prends entre mes cuisses écartées,
Et tu vibres, je suis heureuse.
Mes doigts, ces araignées,
Qui, effilés, tissent la mélodie,
Sur ton phallus noir dressé,
Sont par le plaisir, endoloris.
Et mes mains qui te caressent,
Tes cordes qui les pénètrent
Puissamment je les presse,
En jaillit une jouissance secrète.
Jumelles destinées de deux corps entrelacés,
Moi, bohème amoureuse,
Je te prends entre mes cuisses écartées,
Et tu vibres, je suis heureuse.
Invité- Invité
Re: La violoniste
La complainte de l'archet
Qui suis-je, moi l'errant des champs
Mélodiques, harmoniques d'antan,
Baisers de crins menés à la baguette,
Tambour battant aux jours de fête ?
Vous oubliez, dans vos poèmes,
Les notes que partout je sème
Caresses de cordes par la queue
Oubliée d'un étalon fougueux.
Je suis la verge enfantant Calliope,
Frère de Terpsichore l'endiablée,
Le berceau des songeurs violons,
Bois frémissant sous mon action.
Pernambouc se nomme ma mère,
Elle pleure, au-delà de la mer,
La perte de son fils chéri.
Je joue ses larmes. Père hennit.
Qui suis-je, moi l'errant des champs
Mélodiques, harmoniques d'antan,
Baisers de crins menés à la baguette,
Tambour battant aux jours de fête ?
Vous oubliez, dans vos poèmes,
Les notes que partout je sème
Caresses de cordes par la queue
Oubliée d'un étalon fougueux.
Je suis la verge enfantant Calliope,
Frère de Terpsichore l'endiablée,
Le berceau des songeurs violons,
Bois frémissant sous mon action.
Pernambouc se nomme ma mère,
Elle pleure, au-delà de la mer,
La perte de son fils chéri.
Je joue ses larmes. Père hennit.
Dernière édition par Benjamin le Mar 12 Juil 2011 - 15:21, édité 1 fois
Benjamin- Messages : 270
Date d'inscription : 10/05/2011
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