Godzilla !

la 2 de flaming lips est poignante. Et puis un peu de harpe hein...

Je crois que c'est un disque vraiment important. En tout cas je l'écoute très réguliérement depuis sa sortie il y a presque 20 ans.
Une chronique qui vaut ce qu'elle vaut, mais situe quand même bien les choses (a part les délires interprétatifs de la fin ) et te donnera peut-être envie de fouiller davantage ce groupe assez unique :

"Aux antipodes des ravins vertigineux et enflés de lave incandescente de Zaireeka, leur monstre d’album précédent (que je chéris), Soft Bulletin témoigne du miracle d’une mue improbable : les Flaming Lips, le dernier des derniers groupes de losers du début des années 80, les freaks cramés incapables de jouer juste, transcendés en orfèvres de Baroque Pop aux arrangements hollywoodiens et à l’écriture lumineuse ! Et encore, en fait d’hollywoodien, il faudrait parler du rêve que l’on peut avoir gamin devant un vieux Disney ou un Spielberg ; et en fait de lumineuse, l’écriture vire régulièrement à l’éblouissement frontal lors de certains refrains, sursauts épiques qui ont fait lever quelques poings dans les chambrettes d’amérique. « Euréka ! » semble s’écrier Coyne à chaque fin de phrase. Alors, comme on a envie de comprendre la raison de tant de faste, on lit les paroles… Il y est question de héros qui soulèvent le soleil, de héros ordinaires qui rangent leurs légumes dans leur frigo en rentrant chez eux, mais que Wayne Coyne raconte ici avec une emphase digne des Dieux romains. Chez les Flaming Lips, la science, Dieu et la magie ne forment qu’un seul et même concept. Les petites gens sont divinisés et Superman perd ses moyens. Il y aurait de quoi écrire une thèse sur les paroles de ce veritable album concept, mais j’y reviendrai. Musicalement, c’est simple et limpide, le groupe a accouché de son grand œuvre, et Dave Friedmann de la pièce maîtresse de son travail de producteur. Comme toujours, il a mis en valeur les contrastes, ici exacerbés sous la forme d’envolées symphoniques (mellotrons, orchestre, effets psychédéliques, tout y passe), confrontées, donc, à la gravité qui s’exprime à travers cette batterie ‘Intheairtonight-ienne’ (Race For The Prize, ça débouche les oreilles de vos voisins de 3 étages au dessus) et cette basse qui déploie des trésors de contrepoint mélodique McCartniens, Entwistliens. Quand ce n’est pas tout simplement la gravité elle-même qui vient gronder nos Icare de son baryton cartoonesque (le refrain instrumental complètement fou de Spoonful Weighs a Ton, où dans une moindre mesure le ralentissement de Suddenly…). L’expression certes galvaudée « une idée par plan » prend vraiment tout son sens ici. Par exemple, cette rythmique à la bouche sur le démentiel Feeling Yourself Disintegrate, à l’unisson avec cette petite gratte folky… Oui, le goût des ornements acoustiques sur fond orchestral de l’indie US prend racine ici. Malgré ce petit instant de beat-box, les touches d’humour si habituelles du groupe sont un peu absentes ici. C’est que les Lips jouent là leur dernier va-tout. Eux aussi ne sont « que des humains avec femmes et enfants » désormais, et il faut qu’ils commencent à gagner du blé où qu’ils retournent à la vie civile, après 25 ans de galère. Alors ce Race for The Prize frondeur et déployant des trésors de mélodie pour accrocher les foules, c’est un peu leur histoire à eux aussi. Les scientifiques restés enfermés 2 ans dans leur labo-studio, c’est un peu eux. Le parallèle avec le pharaonique California de Mr Bungle, la même année, est tentant. Ici aussi, on dirait que la Warner Bros a mis les moyens d’une superproduction. D’ailleurs, du petit logo WB aux crédits dans le livret, tout rappelle une affiche de film, même si c’est plutôt du genre Barbet Schroeder. Et lors des gracieux passages instrumentaux, prolongements mystérieux des morceaux (The Observer), on sent vibrer toute la fibre cinématographique du groupe. Après ce plan panoramique, la face B semble se poser un peu pour nous dire quelque chose. C’est presque avec déception qu’on accueille la très conventionnelle Waitin’ for Superman, avant de se laisser piéger par sa mélodie doucereuse et surtout ses paroles… Les Flaming Lips chantent, avec une candeur de gamins curieux, la condition humaine aux prises avec ses propres limites, quand ce qu’elle a bâti se retourne contre elle. « Regarde, tout va bien, papa viendra pas te sauver, t’es juste seul au monde, ça va aller », semble dire Coyne de sa voix de renard triste-joyeux. Une voix qui porte en elle le paradoxe. Alors que la descente chromatique terminant Suddenly semble annoncer un autre palier dans l’introspection, paf, voilà qu’ils balancent The Gash, énorme hymne gospel sur fond de batterie guerrière, aux manipulations de voix inouïes (avant et depuis)… C’est psychédélique, à la fois baba cool et terriblement futuriste, tellement over-the-top que c’en est purement tubesque. Bien sûr, là, les paroles se font un peu trop Spielbergiennes et nunuches, mais – contrastes, équilibres et paradoxes, toujours – voilà que démarre Feeling Yourself Disintegrate… Que c’est dur de mourir pour un américain. Cette fois, la montée est progressive, semble ne pas vouloir s’arrêter avant les étoiles. Oui, c’est bien la magie de Zaireeka qu’on retrouve ici, la sensation de s’évaporer telle une aurore boréale, dans un mouvement expansif, lent mais incontrôlé… Sleeping on the roof nous laisse sur une dernière image, celle des dernières poussières d’âme s’élevant au dessus des criquets et des lucioles… Alors oui, Soft Bulletin est un album en forme de victoire, un album béat, c’est un euphémisme. Pourtant, derrière le concept « la science, l’univers, l’homme-dieu et sa chute, etc), il y a comme une vague angoisse qui flotte en filigrane ici, et ce n’est pas la peur millénariste, les Flaming Lips étant déjà revenus de pas mal de décombres à ce stade. Non, ce que Soft Bulletin semble appréhender c’est… Le 11 septembre 2001. Difficile, a posteriori, de ne pas voir les pompiers New Yorkais tant adulés dans A Spoonful Weighs a Ton, l’obsession de l’ennemi intérieur dans Spark that Bled (‘what kind of weapons have they got’, haha) l’Amérique qui s’effondre dans Waiting for Superman (on peut y projeter aussi bien le loser Bush que le finalement ‘seulement’ humain Obama) ou encore la catastrophe débarquant sur les télés dans ce Suddenly Everything Has Changed (‘the sky accelerates’), avant le chant de guerre (The Gash, qui parle d’explosions, de volontaires combattant jusqu’à la fin…) et enfin la mort. Et devinez où les natifs d’Oklahoma ont enregistré ? Bien sûr, les Flaming Lips n’ont jamais fait que parler de leur pays, mais après tout ce n’est pas pour rien si Soft Bulletin a quasiment défini l’Indie pop américaine des années 2000. Il faut l’avoir écouté pour comprendre cette mode des voix aigues, ce côté décomplexé envers la grandiloquence, ce dédain des guitares si populaires dans les années 90, ce sentimentalisme un peu hippie foufou qui sonne régressif chez tous les suiveurs. Pour les Flaming Lips, il était l’expression d’une maturité arrivée bien tard, qui fit d’eux à partir de ce moment-là des intouchables aux USA. Pour les avoir vus sur scène quelques années après, il faut reconnaître qu’on peut difficilement atteindre un groupe qui plane aussi haut que ça"
(Source : Guts Of Darkness)

J'ai pensé faire rock-critique. Mes premieres entraînenements consistaient à contourner les adjectifs et travailler les verbes. C'est très difficile !
Il y a au fond de leur musique quelque chose qui s'effondre. Le malheur c'est que je suis passé par de tels effondrements que leur seule évocation me rigidifie complêtement. Alors je comprends, comme je comprends Lou Reed, mais je reste sur la défensive. SPT. Stress post traumatique: il faut être très prudent, les cauchemars sont faciles à réveiller.

Ça cet espèce de gospel qui accuse, ça m'a toujours secoué, la folie des voix et les paroles invocatoires.

Je comprends
C'était davantage pour illustrer que ces décennies 90-2000 ont eu tout de même la chance d'avoir quelques oeuvres vraiment majeures et novatrices, mais je me rends bien compte que celles-ci sont souvent sombres ou ambigus, et moi-même je ne me jamais cet album dans des moments trop ... agités (ou dépressifs), dirons-nous ^^
Dans le même ordre d'idée (d'une manière un peu différente), j'avoue que Kuhn me prends un peu trop aux tripes pour envisager de l'écouter très souvent - ce qui est dommage, en fait, mais...

Rien à voir (quoique, ils sont sans doute une influence des Lips), mais ça m'a donné envie de zic bien lumineuse, et forcement on fait appel aux spécialistes ^^
(tu connais, mais celles et ceux qui passent par ici et pour qui c'est pas le cas... eh ben régalez vous, c'est bon pour le moral   )

Slurp

Effectivement c'est délicieux

Ca ça fait chialer mais qu'importe ^^

Miam. J'ai appris l'anglais tout seul, et ça me parle. Spirit a été longtemps un de mes groupes fétiches. Et puis finalement, je connais tellement les chansons que j'accroche moins. Et pourtant c'est difficilement remplaçable.

Ce que c'est parfois agaçant les critiques rocks ! A force d'écouter naivement leurs insistance sur le fameux "Twelve dreams" de Spirit, j'ai un peu négligé le reste (mais bon j'ai tout le temps de réparer mon erreur ^^)

Tiens sinon (puisque tu parlais d'anglais ça m'y a fait penser) j'ai découvert que cette merveille de film était dispo en entier et en VO sous titré sur Youtube - donc je fais passer le mot.
Rigoler un peu n'est pas du luxe en ce moment...

Attends ! Cet aprem j'ai voulu regarder "nimphomaniac" J'ai arrêté. Putain c'est glauque !

Je connais le symbolisme du Graal. Du coup j'ai les lèvres gercées quand il s'agit de rigoler...

Spirit, c'est mon sauveur, Georges (longue histoire) qui me l'a fait découvrir avec "Spirit of Seventy six".
Puis j'ai vu ça en concert, et là j'ai capté un truc super profond.
La gouaille, mais positive.

Arf le film dont tu parles, je ne connais pas, mais même 30 secondes, ça semble assez spécial en effet Bon après j'en sais pas plus ^^

Je conçois tes réticences pour Sacré Graal, mais (pour l'avoir vu une centaine de fois ^^), je ne pense pas que cela soit réellement irrévérencieux ou irrespectueux - sauf évidemment envers un certain esprit de sérieux de l'Angleterre des années 70... et envers une certaine image du Moyen-age parfois rendu un peu trop romantique !
Le contexte joue, aussi. Dans ces années-là il me semble que l'humour était encore pas mal corseté, et les Pythons ont fait beaucoup pour le "libérer".
Même si ça peut parfois faire grincer quelques dents, ils ont le mérite d'avoir été loin certes, MAIS avec beaucoup de talent et d'esprit : ce dont ne peuvent se prévaloir des myriades d'humouristes médiocres et sans aucune limites qu'on voit de nos jours...
(tout ça n'engage que moi, hein   )
Je supporte pas le cynisme primaire ou l'humour moqueur "méchant", mais eux je les place pas dans ces paniers là.
Après chacun place ses limites, c'est normal et sain  

L'avantage d'être vieux: je l'ai vu à sa sortie !
Ainsi que le graphique de boskop...

Arf ben oui désolé je blablate et je réfléchis pas ^^
Quoiqu'il en soit le voir au ciné, c'est plutôt une chance - au delà d'éventuelles polémiques, le film est visuellement bien fichu, et dans tout les cas, très loin d'un fade produit de studio - mais tu le sais aussi bien mieux que moi

Et puis faut se méfier des "vieux" hein ^^

Les vieux en plus c'est cochon et ça sent pas bon.

Ben je suis vieux alors ^^

En Octobre, ce sera officiel (pour les nouvelles normes de notre monde merveilleux)

Mais c'est pas grave, dans la tête ce sera toujours...

Plongée dans le deep web: On trouve tout. Surtout des virus et le FBI !  

On est une bande de jeunes on se marre...

Le groupe du fils d'un copain d'enfance (à la batterie).

Ah ben ! J'ai écouté King Child avec beaucoup de plaisir, la chanson me parle et tout ça semble sincère (et pro ! dans le bon sens du terme)
Ca évoque Coldplay, mais (à mon sens) en beaucoup, beaucoup mieux.
Bravo au fils de ton pote et à son gang

De mon coté j'ai pas écouté grand chose ces jours-ci, mais (tadam !) je me suis remis à la lecture, et wow, ça fait du bien... depuis le temps que je le souhaitais !

Mais bon, comme j'ai une espèce de tradition d'une zic par post sur mon fil...

Le morceau d'ouverture de "Crac!", excellent disque de prog italien (1975), imbitable pour les pisse-froids, ludique et jouissif pour les gens avec des oreilles ouvertes ^^

Je dépose ici une pitite chanson que j'aime beaucoup :

... et tu as "bien raison" de l'aimer, c'est une merveille
(décidément, je vois pas bien pourquoi tu doutes -un peu- de tes gouts musicaux )

Bon je dois avouer, cette chanson étant une "favorite" d'une certaine personne (oui oui, mon ex ^^), ça me fait un peu bizarre ! Mais ça vaut le coup, je l'avais pas entendu depuis longtemps... vraiment sublime

Pour toi du coup (et tout le monde hein ^^)
j'ai jamais trop posté de morceaux des Kinks (groupe que j'adore), mais celui-ci ferait "pleurer" n'importe qui (en "bien" hein), alors voila




+ Un morceau un poil moins limpide dans sa structure, mais également très émouvant - enjoy



Sinon info perso : ce coup ci... c'est bon (au moins à ce niveau) - plus d'alcool chez Godzilla ! La prochaine fois que j'en boirais, ce sera avec de "vrais gens", dans une bonne ambiance - stop au glauque ^^

Je croise les doigts

T'inquiète, je doute pas de mes gouts musicaux : je sais bien ce que j'aime ou pas
C'est surtout que je n'y connais pas grand chose, j'écoute, je vois ce que je ressens, ça me plait ou pas, ya rarement de demi-mesure.
Je vais aimer la chanson qui me fait sauter partout comme celle qui me fera pleurer, que je comprenne ou pas les paroles, du jazz à la pop-rock, en passant par la musique classique.

Enfin bref.

J'ai bien aimé la première, en effet, ça m'a un peu fait pensé aux beatles (mes chouchous lol). L'autre moins.

chuna56 a écrit: Je croise les doigts

Moi aussi  
Mais la dernière fois que j'ai bu seul, j'ai fait une énorme connerie   je crois que ça m'a servi de leçon...
L'alcool, il y a bien entendu l'aspect santé, mais surtout, ça me rends vraiment ... non pas con (quoique ^^), mais ultra-sentimental (au sens... alcoolisé de ce style) et je peux pas m'empêcher de dire ou d'écrire des trucs qui bien qu'ils ne soient pas méchants... ne sont pas "appropriés". Donc, yabon ^^

chuna56 a écrit: beatles (mes chouchous lol).

Ben voila J'ai coutume de dire que ma "carriére" de mélomane a commencé avec les chouchoux de ma mère : les Beatles, et Stravinsky. Une très bonne base je pense ^^
Je poste jamais les Beatles puisqu'on trouve pas les versions originales sur Youtube... mais ils sont... ben c'est les Beatles

J'adore cette reprise par Il était une fois (je te l'avais déjà passé mais bon ^^)



(ca me fait plaisir de te voir sur mon fil... j'espère que tu vas bien ! Je suis très discret avec toi ces temps-ci, pour compenser quand j'étais "un peu" chiant, mais bon - ça ne veut pas dire que je me désintéresse de ma potesse, hein  )

Tiens celle-ci est pas mal aussi ! For you

J'ai posté ça au rayon prog rock. C'est sublime !

En effet
Ca m'évoque davantage les débuts des Bee Gees ou le 1er Genesis que le prog de l'époque de sa sortie, mais à vrai dire j'aime beaucoup ce style également !

Un sommet du genre :

Plus les 5 vidéos suivantes.

Puis tu branches ton synthé là-dedans:


Et roule ma poule !

Godzilla a écrit:
Trop con que personne n'ait osé un remake des Tontons Flingueurs !

Alors, les cons, ça ose tout, mais si un gougniafier quelconque a l'outrecuidance de se risquer à ça, moi je suis marteau, je vais cramer la moitié de la Bretagne

@Fata: oui mais fais trop chaud pour composer

@SophieDeKiev : Ca créerais au moins un nouveau mot : cramexit

Blier aurait pu être à la hauteur je crois, pour la réalisation et la dinguerie, mais pour les acteurs ça se complique, surtout pour remplacer le Lino !

Aaah la bretagne et ses gougnafiers... ^^

L'individu a écrit:Faites chier avec vos goupes mobides qui vendent du spleen !
Mais enfin la plupart ils sont ou étaient complêtement détraqués !

tout à fait d'accord! ma contribution à l'édification musicale des spleeneux:

Sim. On n'en fait plus des comme ça (époque Bouvard / Martin avec les Préboist et compagnie).

ortolan a écrit: Sim. On n'en fait plus des comme ça (époque Bouvard / Martin avec les Préboist et compagnie).

si tu n'as jamais vu "elle bois pas, elle fume pas, elle drague pas, mais elle cause" (réal Audiard père), vas-y et passe une trèèèèès bonne soirée

Si, ça me dit quelque chose, avec Annie Girardot (très bonne actice malheureusement assez méconnue).
Je me souvenais avoir déjà vu Sim déguisé en fée ou un truc du genre mais je ne savais plus où.
Y'a pas à dire, même de nos jours c'est stylé :

Tiens salut Ortolan, ça faisait longtemps

Ouais, un gros gros coup de mou + la lassitude de ce qu'on peut lire parfois sur le forum qui m'a conduit à un ras-le-bol temporaire. Donc je me suis recentré sur les passions qui m'animaient avant de débarquer ici (informatique matérielle et logiciels + beaucoup de guitare et un peu la basse). J'ai même d'autres passions encore en réserve mais je les garde en sommeil sinon vous ne me verriez plus

Pour la lassitude du fofo, ça nous le fait tous par moment, c'est plutôt sain finalement
Désolé pour le coup de mou par contre
Mais tant qu'on a les passions vives, tout va bien !
On aura peut-être l'occasion un jour de "massacrer" Gainsbourg ensemble
En tout cas c'est cool de te revoir sur ZC !

On pourrait faire "Vieille canaille", je tenterais une imitation d'Eddy-les-chaussettes-noires. Tant qu'à massacrer, autant faire d'une pierre deux coups

Très bonne idée ! Et ce sera quand même plus simple que de faire "Dieu Fumeur de Havanes" ou "Lemon Incest"

Un jour tu chanteras "pull marine ", faut pas désespérer :p

Je la chante déjà ^^ Enfin sans doute pas au même octave qu'Isabelle A. mais tout de même

Godzilla a écrit:Isabelle A.

Les yeux bleus ?

Ben t'as pas perdu ton humour

Moi, pour une fois que ça va bien (après un mois très ), la machine à vannes est enrayé. On peut pas tout avoir faut croire
Mais comme je soupçonne le ptit Bleu d'être revenu, c'est bon, on va pas tarder à fendre la poire ^^

Random (happy) music selection !

Une chanson que j'ai déjà du poster ici, mais je relisais les circonstances de sa création, et ça ... je sais pas, ça fait du bien.
Jeff Lynne (génial compositeur et leader du groupe ELO, Electric Light Orchestra) s'était "retiré" dans un chalet suisse, en 1977, pour écrire le nouvel opus de son groupe.
Dans une interview de 2012 il explique : "Le temps avait été sombre et brumeux durant 2 semaines. Je ne parvenais pas à composer la moindre chose.
Soudainement, le soleil surgit, et je pensais "Wow, que les Alpes sont magnifiques !" - Et j'écrivis "Mister Blue Sky" et 13 autres chansons dans les 2 semaines qui suivirent." (traduction Godzilla ^^)
Pour ceux qui ne le connaissent pas, ce morceau est souvent cité comme le plus joyeux du monde, en plus d'être musicalement une merveille prolongeant brillamment les plus belles heures des Beatles.
Enjoy

Godzilla....heumhuem tu surestimerais pas un peu la taille de ton chipuoipouic la?

Le web ne semble pas connaitre le terme "chipuoipouic" mais, sans avoir particulièrement l'esprit mal tourné, le contexte me donne une idée de ce que tu appelle comme ça
Avec mon fantastique tableau de chasse amoureux (une seule et unique compagne en presque 40 ans ^^), je ne crois pas que je surestime gravement quoi que ce soit de ma petite personne ^^
Peut-être pour ça que je ne reviens pas à certains animaux de la savane ZCéenne, plutôt portés sur l'immodestie chronique ? Va savoir, ils sont fous ces Zèbres ^^
Nan nan t'inquiètes, taré oui, mais pas de cette façon là ^^
Le pseudo, c'est simplement que Godzilla, c'est cool.
Et ça change des équidés
D'ailleurs, malgré l'impressionnante filmographie du gros lézard radioactif, je ne crois pas qu'il y ait jamais eu de versions olé-olé, donc en conclusion :

Comme elle, vous allez prendre !

@godzilla : arrête, t'as même pas cherché!!

par contre j'ai pas cliqué, j'ai un mineur à côté de moi

Haha belle repartie!C'etait seukement pour faire un peu d'humour et parce que cest la premiere chose a laquelle j'ai pensé quand j'ai vu ton pseudo,avec mon esprit mal tourné x'd

@Mystère Blue (Sky ?)
Plus que 9996 messages avant de faire de nouveau péter les chips ^^ (même sans haricots )
On a de la marge

@Sophie Un mineur ? Spa vrai, il y a des Corons jusqu'à Toulouse ?
Oh My Gode ! ^^

@BeneGeserit : pas de soucis, je me doutais bien que c'était de l'humour
En même temps je connais au moins une personne sur ZC qui aurait pu écrire ça à la sulfateuse ^^ Donc j'ai sorti le pare-balle au cas ou
(je sens qu'on va pas tarder à évoquer les trous de balles ^^ oui j'ai menti pour l'esprit mal tourné )

Eh bien suffit de découper le mot godzilla pour avoir une belle idée... godzilla 3 syllabe. Une assez drôle au vu des 2 sens. Les autres futiles à moins qu'on parte dans le latin; petit intérêt si on les modifie un temps soit peu.
@godzilla : pas d'esprit mal placée dis tu? Les corons jusqu'à toulouse fis bien l'inverse ahah:)

Syphzx : amateur de ZX Spectrum ? De X ? De série Z ? (références à ma portée, le latin pour moi c'est juste un quartier ^^)

J'aurais du prendre Gorgonzola comme pseudo, on m'aurait pris pour un littéraire au mieux, ou simplement j'aurais annoncé la couleur l'odeur ^^

Syphzx a écrit:Eh bien suffit de découper le mot godzilla pour avoir une belle idée... godzilla 3 syllabe. Une assez drôle au vu des 2 sens. Les autres futiles à moins qu'on parte dans le latin; petit intérêt si on les modifie un temps soit peu.

Je l'avais pas vu.. Un détournement d'une aussi grande classe.. Honte à moi

@godzilla : dès que je peux, je vais poster du pierre bachelet sur ton fil

@SophieDeKiev non non du tout ! Il est subtil je trouve, mais pas une honte tout au plus un manque de découpe de mot .

@Godzilla avec gorgonzolla, on peut partir super loin dans le détournement ! Littéraire non, déjà ça ne me fait pas penser à un fromage... Je vois le delire entre Gargantua, gorgon, zola bref autant te dire que c'est pire que god zilla eheh

Comment avouer que je suis à moitié largué (à moitié seulement hein ! Je suis pas SI con que ça ? ou pas ^^) sans perdre la face !

Bon que soit Godzilla ou un simple gode, (ça marche pas pour le god grec mais OSEF)...
L'essentiel est de creuser toujours plus... deeper underground
(et l'underground c'est pas qu'un simple sous-sol, en langage rock ^^)



@SophieDeKiev : en fait tu es d'ailleurs ! Avoue ^^  
(je précise que c'est juste pour la vanne, hein )