La dernière fois que j'ai tenté un titre j'avais trouvé ce qu'il fallait et là, je sèche alors voilà...

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Wow, j'ai appuyé sur "Envoyer"   

Alors officiellement, Bienvenue Never !   

C'est touchant ce que tu as écris. J'espère que ce forum t'aidera encore beaucoup dans ta quête de connaissance de soi, qui est primordiale pour un réel épanouissement.
Bon courage à toi.

Merci à toi l'Ange   

Suffit de cliquer sur le pseudo de la personne, tu atterries sur son profil, et là t'as le logo "mâle" ou "femelle" !

J'avais la flemme !   

Merci monsieur !   

Avec plaisir (mademoiselle ou madame).

(J'adore ton image perso ! )

Ce fut un plaisir de te lire Nevermind, bienvenue !

Moi aussi !!!!!!!!   


Bonsoir AQua : Merci

Je ne sais pas si je suis le vieil ours de ton texte et au fond cela n'a pas une importance majeure. J'ai juste envie de dire que j'ai aimé la dentelle de sensibilité de ta présentation. J'aimerai bien qu'il me soit donné de te rencontrer pour faire connaissance avec "la dentelière".

Bien(re)venue !

"La Dentellière" ... C'est un honneur M. l'Ours , mon signal t'est parvenu

Je serai ravie de te rencontrer, l'on m'a dit que tu avais une douce grotte pas trop loin, où certains zèbres venaient se mettre un peu à l'ombre, peut être un jour prochain, avec grande joie.

Merci à toi.

P.S: et même pas de faute !  

*

(*) :

Haha ! tu l'attendais celle là ? (qui aurait cru ! )

Je savais que tu passerais :p

Ça va l'air la haut? Si toi pas bavard, nous avoir bonnes raisons de s'inquiéter !!!

Sourire c'est toujours mieux que rien hein  
Prends soin de toi ti loup et de ta santé.

Bisous à toi !

Nevermind13 a écrit:Je n'arrivais plus à m'écrire ...

Bienvenue à Toi et surtout merci.
Un immense merci pour ce "m" et cette apostrophe : "m'écrire"
Une mise en perspective qui éclaire mes propres pannes d'écriture.
Je disais jusqu'à présent que je n'arrivais plus à écrire, mais en réalité je n'arrivais plus à m'écrire !
Et ça change tout, ça sonne enfin juste ...

Bonne route à Toi



Re n'Art Devin
"Ce n'est pas un hasard, c'est notre rendez-vous, pas une coïncidence" Etienne Daho

Oui, écrire, c'est surtout être avec et face à soi même.

Lire aussi.

Et si dans mon passage, ça t'a permis de le voir aussi, c'est moi qui en suis très heureuse

Tiens moi au courant quand tu te parleras de nouveau. ça me ferait très plaisir.

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Ce que tu écris, c'est ce que tu as déjà compris. Ce qui, bien que sensible encore, ne fait plus mal.

La solitude ne s'écrit pas, et pourtant ce serait si agréable de pouvoir l'écrire. Or cette solitude, dès l'instant où on en sculpte les lettres, on s'adresse de fait à un tiers qui va lire. Et la solitude n'est plus visible et pourtant elle est tapie sous le meuble, sous la table sous le lit : elle attend de pouvoir revenir.

Dans cette démarche de découverte de la douance, j'ai vu et ressenti intimement la morsure de la solitude ontologique de l'être humain devant sa vie. Je cite souvent le mythe de Sisyphe et l'absurdité de la vie et la conclusion : "il faut imaginer Sisyphe heureux". Et quelque nombreuses que soient nos relations, nos agitations, nos occupations, ce ne sont que des trompe couillon de la solitude, des masques pour déguiser les Sisyphes que nous sommes.  Il n'y a qu'en acceptant pleinement cette situation, que la vie neurotypique préalable nous a masquée, qu'on arrive à convertir la solitude en espérance.
J'ai 55 ans et je le comprends à peine ; je conçois que ta perception peut être révoltante.

J'aimais particulièrement à une période de ZC, le concept du verbe "Inattendre", c'est à dire être à la disposition d'un double indéfini, le "quand" et le "quoi".
Dans cette attitude d'acceptation de ce double indéfini, pour peu qu'on arrive à la tenir, alors apparait l'incident, l'étincelle, l'apparition, alors survient l'évènement et celui-ci est pur parce que nettoyé des oripeaux habituels. Alors, la relation est, elle s'établit entre 2 pôles, indépendamment de l'un et de l'autre, la relation est "et", au sens de Deleuze, juxtaposition sans subordination.

Pour illustrer et égayer (quoique...) un peu ce propos, je joins 2 chansons :

Zazie : je n'écris pas, sur l'écriture comme moyen de conclure publiquement un évènement déjà déroulé ou d'évoquer l'impossibilité de le vivre.

Daran : comme illumination pour évoquer la force de l'évènement quand on inattend (mis à part que dans la chanson il y a inconscience de l'inattente et regrets - explicitation en creux d'Inattendre)

Je suis très touchée que tu m'aies répondu, très touchée.

Je sais, on m'a dit que j'étais jeune et fougueuse... . Je suis une disciple impatiente, mais douée .

Merci à toi.

Zazie : Magnifique. Si vrai, si sensible, si lucide. C'est si juste.

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