la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)

le vieil homme et la mer ?

(sans sombrero)

Egérie, oh

J'avais d'abord pensé à un vieil hollandais au volant (Brueghel ?), mais camille te va mieux au teint...

Spaçà ?

@Lanza, ton lien ne marche pas, mais je connais ce poème, ma mamie me le lisait pour m'endormir quand j'étais petite, je l'aimais beaucoup.
Malheureusement spaça

@Prjevalski : non plus

@Miwako argggggggggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh même pas drôle t'as djà trouvé pfffffffffffffffffffffffffffffff

The Rime of the Ancient Mariner (en français ça doit être La Complainte du Vieux Marin)


Ca me fait vraiment penser à ce poème.

arrivé trop tard ^^

Tu t'es vue quand t'as bu ?



Ok, je sors

Bien, moi j'attends l'énigme nouvelle de Miwa

MINCE !!!!!!

j'ai juste pensé tout de suite a une vanité... et celle là collait pas mal...
juste avant j'ai pensé a Hamlet, avant de me souvenir de ma propre règle : quelque chose de visuel lol

ben je suis embêtée, je fais quoi maintenant? j'en fait une quand même? je laisse mon tour? zut...

bon, je passe mon tour à Lanza parce que je sais qu'il en a une sous le coude.

de mon coté je vais réfléchir un peu aux règles... l'idée de ce topic m'est venue "comme ca" mais je me rend compte qu'on peut améliorer pour rendre le tout plus fluide.

M. Lebreton, c'est à vous, si vous voulez bien nous rejoindre...

(C'est un peu de la triche hein, j'ai rien trouvé).

Alors voilà :

— Maman, j'ai froid !
— Je sais, mon poussin, pose ton pied ici. Voilà, attrape la main de papa.
— C'est tout mouillé, ça glisse... je veux rentrer à la maison.
Sinuant sur l'autre rive, le corrupteur contemple une scène de son œuvre.

C'est de la triche ! Je m'insurge !

L'hiver de...Poussin?

super Marre !
Miwa!

@La Laie : non, spaça.

And the winner is Od@vie. A ton tour ! :p

Suuuperrrr, je me Marre aussi.
Merci Lanza

J'ai pianoté ça pour vous :

Comme une effraction douce dans l'ombre noire,
Le jour s'invite et en réveille les couleurs .
Sur son chemin les formes se révèlent
Dans une harmonie tranquille.

Matin méditerranéen paisible

Ok, y'a de l'idée dans les formes révelées , les couleurs ...
mais on a dit paisible le matin méditeranéen!
et il s'agit d'art avec un grand A et pas en 95 C ou D (je laisse ton oeil expert trancher)

Ah ben ça calme une vue pareille !

Sinon, hummm... je dirais C, la cambrure buste bombé est trompeuse

Lanza, c'est magnifique, j'adore Monet . C'est vrai qu'il est allé dans le sud de la France avec Renoir, bonne idée!
Je suis bouleversée par ses toiles même si je n'ai que de pâles copies dans mes bouquins. Mais cette façon de se jouer de la couleur surtout près des côtes bretonnes.
Je vous envie gens du continent car il y a sur lui, une expo que je rêverais de voir.
Vous est-il possible de m'en parler pour ceusss qui y sont allés?
je veux dire vos émotions, vos impressions

Pour l'oeuvre qui est à découvrir:
indices: bleu, vert, rouge (naaan, c'est pas un drapeau)

(bon, les indices viennent un peu tôt, non ?)

(qui a dit râleuse ?)

Je n'veux pas que vous finissiez comme moi à cauZe de Kid: oeil blafard, teint livide, moignons à la place des phalanges...
Mais je sais que vous allez trouver d'art d'art et j'ai vite envie de me remettre à chercher.

Bleu, vert, rouge, méditérrannée, ombre noire, formes, tout ça...

pas sûre du côté méditerranéen...

SpaMiro!
SpaGauguin!
et Kiditkoi?

Aivazovsky?

Meuh non c'est le Havre ça

Spresça!
l'artiste a été repéré (homme du Nord devenu méridional) par quelqu'un mais pas l'oeuvre.

Méditérranéé suggerée par l'intrusion délicate du jour .
Atmosphère sereine où se détachent des notes de couleur.

Matisse Luxe, calme et volupté

Un Barbu, c'est un barbu, deux barbus, c'est des barbouzes, 3ème épisode ;

Adolfo Prjevaslki à Lanza " - Ma, ti sais qu'il comme à mé plér, ce yeu"
Lanza à Adolfo : "Brezel, Sus au Toueller !"

A moi, à moi

Juste pour le plaisir et parce qu'évidemment mon choix m'y invite : Baudelaire, L'invitation au voyage.

Mon enfant, ma sœur,
Songe à la douceur
D'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Des meubles luisants,
Polis par les ans,
Décoreraient notre chambre ;
Les plus rares fleurs
Mêlant leurs odeurs
Aux vagues senteurs de l'ambre,
Les riches plafonds,
Les miroirs profonds,
La splendeur orientale,
Tout y parlerait
À l'âme en secret
Sa douce langue natale.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Vois sur ces canaux
Dormir ces vaisseaux
Dont l'humeur est vagabonde ;
C'est pour assouvir
Ton moindre désir
Qu'ils viennent du bout du monde.
- Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D'hyacinthe et d'or ;
Le monde s'endort
Dans une chaude lumière.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Od@vie, ce suspense est I N S O U T E N A B L E !

Od@vie a écrit:Je n'veux pas que vous finissiez comme moi à cauZe de Kid: oeil blafard, teint livide, moignons à la place des phalanges...
Mais je sais que vous allez trouver d'art d'art et j'ai vite envie de me remettre à chercher.

hummmmmmmmmmm

Je rentre du tafff et me rue sur mon PC, fièvreuse et là.....alléluia!!
elle est là la toile de l'artiste! et c'est bon de l'accompagner de Baudelaire: Merci La Laie

Henri Matisse "
intérieur au violon"

Je ne sais pas expliquer la peinture "techniquement " parlant mais émotionnellement.

Explication Odavienne:
La méditérranée : suggéreé par le volet relevé laissant apparaître les feuilles d'un palmier semble t-il sur fond bleu azur.
Le jour : opposition délicate avec l'intérieur sombre.

Tableau banal pourrait -on dire mais voilà que l'oeil s'attarde sur l'écrin bleu du violon, la nappe rouge, le fauteuil vert.
Ce tableau fait naître en moi une sensation de déjà vécu : persiennes, rideaux légers, ombres délicates, été matinal et pourtant quelque chose ne va pas dans cette harmonie de prime abord.
Je ne l'ai pas perçu tout de suite mais les objets m'ont parus instables, naîfs , presque en équilibre précaire contrastant avec la symétrie des lames des persiennes.

Et c'est ce qui m'a ensuite plu ! l'instant aussi est en équilibre, le moment est fragile puisque la lumière va changer, la pénombre va céder.
L'invitation est là : envie d'entendre le violon,( d'où mon choix de notes de couleur) trônant seul dans cet espace confiné et à la fois ouvert, de s'affaler dans le fauteuil, de prendre un thé sur cette nappe face à la mer.
On devine le parfum leger de ce matin d'été. Ca vibre de simplicité.


bravo Lanza : à touaaa maintenant!

De nouveau moi, mais ce coup-ci, j'ai gagné pour de vrai.
Bon, ça devrait être un poil plus compliqué cette fois-ci.
Me suis bien amusé à écrire ce machin :
Est-ce donc Ys sortie des flots ?
Sont-ce les ruines de l'Atlantide qui, lassées des abîmes, auraient resurgi ?
Sont-ce d'ailleurs des algues qui ont grignoté ces murs ?
Vraiment, je ne sais pas.
Mais c'est vert, hein. Ah oui, c'est vert !

Et elle est là, alanguie; semblant t'attendre pour l'éternité.

A vous.

Hé... Déjà ?

Spaça (), mais c'est très intéressant, ce tableau, xabi, c'est de qui ?

La Laie : La source, d'ingres, me souffle-t'on.

Ah, des murs, de la végétation, et une jolie madame... mais si elle reste comme ça trop longtemps, son amphore va se vider, hein... Pis elle aura mal au pied. Spaça, donc

A l'Auberge du vieux puits : 3 étoiles au Michelin **
*

Ok, je